LibertéAlgérie – Le Quotidien Après l’envolée exagérée du prix de la viande blanche, c’est au tour de la mercuriale de s’emballer, soumettant ainsi le pouvoir d’achat des familles à rude épreuve
Depuis des mois, les citoyens algériens font face à une flambée des prix de tous les produits alimentaires. Par conséquent un pouvoir d’achat qui s’amoindrit de jour en jour avec des prix atteignant des sommets. Les fruits et légumes qui font partie intégrante de l’alimentation des Algériens, connaissent une hausse fulgurante, et ce même pour les produits de saison. La série de prix élevés des légumes et des fruits en Algérie se poursuit. Les différents marchés du pays connaissant ces jours-ci encore des niveaux records, surtout avec les légumes de saison. Ce qui soulève l’étonnement des consommateurs, mais aussi des marchands de fruits et légumes, et ce vu la disponibilité de beaucoup de produit durant la saison d’été. Ces derniers jours, le prix des tomates était entre 120- 160 dinars, alors que ces dernières sont des fruits de saison ; alors que le prix des piments doux est compris entre 100 et 130 dinars et le piment vert a atteint les 200 dinars. Quant à la carotte, son prix varie entre 60 et 70 dinars algériens. On trouve aussi les haricots verts, qui sont cédé à pas moins de 160 dinars, alors que c’est un légume de la saison d’été. Ce qui pousse les citoyens à se poser des questions, c’est le fait que ces fruits et légumes, soient de saison mais que les prix ne baissent pas. A l’approche de l’Aid Al-Adha, les moutons vendus à des prix exorbitants Les prix actuels des moutons sur le marché ont connu une flambée et selon un éleveur de moutons de la Wilaya d’Ain Defla, le prix de la brebis varie entre 35 000 et 45 000 Da, tandis que les prix de l’agneau se situe entre 30 000 Da et 40 000 Da. Pour le prix des moutons, il débute à 50 000 Da et peut atteindre les 90 000 Da ou plus. Selon Ibrahim Amrani, les citoyens algériens ont commencé à se rendre dans les marchés des moutons, mais uniquement pour se renseigner sur les prix de ces derniers, en précisant que le prix de l’ovin peut atteindre les 100 000 Da pour un grand mouton en bon état physique.
Prixde Gros en DA Prix de Détail en DA; Abricot: 180.00: 220.00: Ail: 650.00: 800.00: Aubergine: 55.00: 80.00
Peu de clients portent le masque au marché Ali Melah à Alger-centre, l'inquiétude face à un Covid déclinant plus de décès depuis près d'une semaine en Algérie est remplacée par une autre faire face à la vertigineuse hausse des prix des fruits et légumes en ce début de ramadan. Chaque année, c'est la même folie, lâche Ali, retraité. Mais cette fois-ci, la cherté des fruits, des légumes et de la viande bat tous les records… C'est la guerre en Ukraine je crois qui fait exploser les prix. » Les prix de certains fruits et légumes ont doublé, les denrées dans les épiceries ont augmenté d'au moins 100 à 200 dinars [63 centimes d'euros à 1,27 euro] », précise une dame trimbalant un énorme couffin dans les allées encombrées du marché. D'ailleurs, avec mon mari, nous ne faisons plus nos courses dans les supérettes ou les supermarchés, on préfère maintenant nos épiceries ou les bouchers de notre quartier, ils nous connaissent et acceptent de nous faire crédit », ajoute cette mère de LIRE AUSSIAfrique l'inflation met le ramadan sous pression900 bidons d'huile achetés en une journéeD'après les indications de l'Association de protection et d'orientation du consommateur et son environnement Apoce, la hausse des prix de la viande ovine a atteint jusqu'à 20 % dans différentes régions du pays, alors que le prix de la courgette, très utilisée dans les plats traditionnels, a connu une hausse de plus de 100 % ! On nous accuse d'être des spéculateurs, mais enfin ! ! ! Ce sont les clients, avec la fièvre des achats qui les prend durant ramadan, qui mettent la pression sur l'offre… Ils ont acheté, le premier jour du ramadan, et dans un seul marché à Alger, un peu plus de 900 bidons d'huile de table de cinq litres. En une journée ! » se défend un vendeur d'herbes aromatiques, très prisées durant ce mois année, autorités, associations de consommateurs ou médias pointent le comportement irrationnel » des Algériens à l'occasion du mois du ramadan. Un mélange de panique face à d'éventuelles pénuries et de poussées d'appétence pour compenser la longue journée de jeûne. Chacun voudrait tout avoir pour lui. Si on a neuf millions de ménages, on doit avoir quelque 18 millions de bidons d'huile rangés dans les placards, ainsi que 9 millions de sacs de semoule », s'insurge, dans un journal, Hacene Menouar, président de l'association El LIRE AUSSITunisie le ramadan de tous les dangersLes autorités tentent de faire faceEt pourtant, les autorités ont engagé une série de mesures rajout d'un quota supplémentaire de 5 000 tonnes de poudre de lait aux quantités distribuées habituellement 14 599 tonnes/mois au profit de 120 unités de production de lait conventionnées avec l'Office national du lait ; disponibilité suffisante » des stocks de blé ; production quotidienne de 24 000 tonnes de farine, 11 000 tonnes de semoule et 4 333 tonnes d'huile, mise en place de marchés de proximité publics, l'interdiction d'exportation de certains produits comme le sucre, les pâtes, l'huile, les dérivés du blé, les œufs ou la pomme de terre, ces mesures ne semblent pas contenir le choc des hausses de prix et des pénuries qui touchent certains produits depuis quelques semaines, bien avant le début du mois le secteur névralgique de la boulangerie n'est pas épargné. D'après des représentants de cette filière, les pénuries – et la hausse des prix – touchant la levure, la semoule et l'huile de table menacent plusieurs boulangeries de fermeture, malgré les aides des autorités aux artisans boulangers pour maintenir leurs marges de bénéfices – en les exonérant de certaines taxes profession afin d'éviter la hausse du prix de la baguette. Selon l'Association nationale des commerçants et des artisans, trois mille boulangers ont baissé rideau ces trois dernières LIRE AUSSIL'Algérie referme les commerces à cause du flux du ramadanL'anarchie des réseaux de distributionPourquoi les autorités n'arrivent-elles pas à juguler un phénomène répétitif qui s'impose chaque ramadan ? Selon des experts, et au-delà de la conjoncture mondiale de la hausse des prix de l'alimentation – 20 % de hausse pour les huiles végétales et les dérivés laitiers, par exemple –, c'est la maîtrise des réseaux de distribution commerciaux qui pose problème en les colonnes d'El Watan, l'expert en économie Abderrahmane Hadef pointe la désorganisation des circuits de distribution avec un manque de régulation au niveau des grands distributeurs, ce qu'on appelle dans le jargon les super grossistes, qui contrôlent le marché et se positionnent entre les producteurs/importateurs et le reste du circuit de la distribution ». Il est temps de réfléchir à la création de ce qui est connu à travers le monde par les centrales d'achat qui peuvent être inscrites dans le cadre du partenariat public-privé en créant des sociétés clairement identifiées et dont la régulation se ferait plus aisément », plaide cet le même journal, Hacene Menouar, de l'Association de protection du consommateur El Aman, critique la non-maîtrise du domaine de la commercialisation des produits agricoles » et l'absence d'une production programmée avec une carte agricole pour savoir ce qu'il faudrait planter, produire et à quelle période de l'année ».À LIRE AUSSIAlgérie à la veille d'un ramadan pas comme les autresL'emprise de l'informelD'autres experts déplorent le fait que, sous pression des services de sécurité et de contrôle ou pour l'appât du gain facile, beaucoup d'acteurs du secteur agricole versent dans l'informel. Mustapha Zebdi, de l'Association de protection et d'orientation du consommateur et son environnement, impute, par exemple, la hausse sans précédent, durant un an, des viandes blanches non seulement à l'importante augmentation des prix des aliments de volaille et des poussins, mais surtout à la situation de la filière dominée par l'informel 80 % des aviculteurs ne sont pas connus des services de l'agriculture. Le mécanisme de fixation des prix n'est donc pas connu, comment voulez-vous que les prix du poulet soient stables et maîtrisés », regrette Mustapha Zebdi. C'est une anarchie que l'on peut vérifier dans certains marchés de gros de fruits et légumes où les transactions ne se font pas par bons de transactions [factures]. C'est ce qu'on appelle l'absence de transparence dans les transactions commerciales, ou, en termes crus, de l'évasion fiscale », LIRE AUSSIAlgérie entre l'amer et le sucré, un drôle de goût pour l'Aïd 2020 Un géant agricole qui s'ignore »Au-delà d'une meilleure régulation des circuits de production agricole, l'autre défi est de se pencher sur le système de nutrition algérien qui, impacté par la hiérarchie des prix, favorise les déséquilibres alimentaires avec une surconsommation de calories peu chères composées de produits importés et subventionnés, et une sous-consommation de fruits, légumes frais, viande et poisson », comme le note Omar Bessaoud, professeur d'économie agricole à l'Institut d'agronomie méditerranéen de Montpellier. Cet expert prévient contre l'augmentation du nombre d'enfants de moins de cinq ans, de personnes adultes obèses et de femmes en âge de procréer âgées atteintes d'anémie ». Facteur qui témoigne de déséquilibres alimentaires et d'un déclin du régime méditerranéen ». L'Algérie a les moyens de sortir du piège des importations et des subventions qui appauvrissent aussi bien nos ressources financières que nos régimes alimentaires, soutient un expert. Mais il faudrait une politique plus claire, plus intégrante, dans le domaine agricole. Nous sommes un géant agricole qui s'ignore. »À LIRE AUSSIAlgérie le ramadan et l'été 2021 s'annoncent compliqués
Lespoir de voir les prix des légumes et fruits se stabiliser dans les marchés n’est pas pour bientôt. Si la marchandise existe en quantité ou même en qualité, quoique parfois moyenne, les prix actuels donnent encore des sueurs froides au client. Un passage en revue des prix pratiqués dans les supermarchés, puis ceux homologués et L’article Fruits, légumes,
Algérie – Le marché des fruits et légumes observe une nouvelle fois une flambée des prix qui met le citoyen dans une situation de doute et d’inconfort. Voici les détails juste en-dessous, ce 10 décembre 2021. Et c’est reparti pour un tour ! Au fait, la cherté de la vie exaspère au plus haut point les citoyens en Algérie qui se retrouvent à nouveau confrontés à une augmentation de prix, pas vraiment justifiée, des fruits et légumes. C’est du moins ce qu’a soutenu le média arabophone Ennahar dans sa précédente édition de cette réalité palpable. Chez les commerçants détaillants, les prix des légumes affichent d’importantes hausses. Il est devenu presque impossible de s’acquitter de ces aliments. Qui s’avère être pourtant essentiels dans les cuisines algériennes. À l’exemple du prix de la tomate qui atteint les 200 DA le kilogramme. Alors que son prix ne dépassait pas les 100 DA. En outre, le prix des navets et des carottes sur le marché varie entre 60 et 80 dinars. Tandis que le prix de la pomme de terre a atteint les 80 DA le kilogramme. Les haricots verts ont eux atteint les 150 DA. Les consommateurs ont été outrés de voir les nouveaux prix des fruits et légumes. Zoom sur les prix du marché D’autres légumes sont proposés à des prix jugés exorbitants. Il s’agit notamment des oignons dont le prix affiché est à 60 DA le kg. La courgette est commercialisée entre 120 et 140 DA. Quant aux concombres et la laitue, leur prix est fixé à 100 DA. Pour ce qui est du poivron, son prix s’élève à 100 DA. Les fèves oscillent entre 160 et 180 DA le fruits non plus n’ont pas été épargnés par cette hausse. Les oranges se vendent entre 120 et 140 DA. Pareil pour les mandarines dont le prix atteint les 200 DA le kilogramme. Les bananes n’en parlons pas. Elles sont cédées à 300 DA. Les dates varient entre 400 et 650 DA. Deglet Nour se commercialise entre 500 à 750 viandes blanches et rouges sont également hors de prix. Le poulet s’élève entre 420 et 450 DA. Alors que le prix d’un plateau d’œufs est vendu à 450 DA.
Informationssur la situation des droits humains en Algérie. Société ; Flambée des prix des fruits et légumes : Le gouvernement face à ses échecs. by AW · décembre 31, 2009. Flambée des prix des fruits et légumes : Le gouvernement face à ses échecs . El Watan, 30 décembre 2009. Seules 703 communes sur le territoire national disposent de marchés de détail.
Accueil > ECONOMIE > Le marché des fruits et légumes en Algérie peu mûr Les prix des fruits et légumes s’annoncent chers pendant le ramadhan en Algérie ce qui confirme encore une fois la fragilité de l’agriculture algérienne. Les prix des fruits et légumes vont connaître une hausse sensible en Algérie au cours des prochains jours. Cela n’est pas uniquement dû à la spéculation qui accompagne l’arrivée du mois sacré du ramadan, mais aussi à la fin des récoltes. Il s’agit surtout des marchés qui s’approvisionnent de la Mitidja et des régions avoisinantes. Cette annonce a été faite par les représentants de l’UGCAA Union générale des commerçants et artisans algériens. Présent à ce point de presse, le gérant d’un marché de gros dira que la fin des récoltes dans la région nord de l’Algérie va indubitablement conduire à la hausse des prix des légumes. Les fruits ne sont pas concernés, en attendant que la production des Hauts-Plateaux vienne en appoint. Il a aussi été souligné que cette situation ne concerne pas la pomme de terre. Des stocks suffisants sont disponibles », a-t-on précisé. Le conférencier a voulu lever l’ambiguïté sur les prix appliqués au niveau des marchés de gros des fruits et légumes en Algérie. Les vendeurs au détail se cachent souvent derrière cet argument pour justifier les prix qu’ils pratiquent », a-t-il été souligné. A titre d’exemple, il a été mentionné qu’au marché de gros actuellement, la courgette se vend à 35 DA, la tomate entre 15 et 20 DA, le mange-tout à 45 DA, l’oignon à 15 DA. L’orateur a rappelé que les prix sont libres. Ce n’est pas de notre faute si le commerçant décide d’une marge bénéficiaire de 200 %. Il appartient au citoyen d’adopter une conduite d’achat responsable, de manière à bouder les produits dont les prix sont démesurément augmentés, rappelle-t-on. Relancé par les journalistes sur la régulation des prix, le représentant des marchands de gros rappellera que les prix des fruits et légumes en Algérie sont libres. Il n’en demeure pas moins, qu’anciennement, le marché obéissait à une règle. Il s’agit du cœfficient de multiplication selon l’éloignement. Cet instrument définit le prix du produit chez les grossistes. Pour la marge bénéficiaire des vendeurs finaux, cette dernière était fixée à 25 % pour les légumes et à 30 % pour les fruits. Les représentants des commerçants et artisans prévoient aussi la coutumière hausse des prix durant les 3 ou 4 premiers jours du mois de ramadan, avant que la situation ne revienne à la normale. Par Mourad, le Soir d’Algérie
23mars 2019. Les prix des fruits et légumes, particulièrement ceux cultivés sous serre, connaissent une hausse depuis ces derniers jours, a constaté l’agence officielle à travers les étals des marchés. Cette flambée s’expliquerait par les produits hors saison dont les prix bondissent sur les marchés de gros, selon plusieurs
Les prix des viandes, des fruits et légumes ont, dans l’ensemble, enregistré une importante » hausse durant les deux premiers jours du mois de Ramadhan, a-t-on constaté dans certains marchés de la ce soit au niveau du marché d’El Harrach, de Kouba ou celui d’El-Afia sur les hauteurs du Plateau des Annassers le constat est le même le Ramadhan de cette année ne déroge pas à la règle en matière de hausse des prix des années Kouba, plus exactement à Ben Omar au marché dit ’’des arcades’’, l’accès aux sept boucheries au premier jour du mois de Ramadhan était quasiment impossible. On dirait qu’on offre la viande gratuitement », lance une ménagère qui tente de se frayer un chemin dans la foule dans l’une des boucheries. Entre DA et DA le kg de viande ovine, et 750 DA, 850 DA la viande bovine, les prix des viandes varient d’une boucherie à l’autre parfois sans quelques encablures de Kouba, aux marchés de Bachdjarrah et d’El Harrach, l’affluence au deuxième jour était bien timide mais les prix de la viande ne reflétaient pas la réputation de ces deux marchés populaires. La viande ovine est cédée entre DA et DA et 750 DA à 850 DA la viande de faire face à la cherté de ces prix, beaucoup de consommateurs se sont rabattus sur la viande congelée et celle du poulet ou de la dinde. La viande bovine congelée revient à la moitié de la viande fraîche, le kilogramme étant cédé à quelque 600 DA/kg pour le le poulet, le kg est vendu entre 350 et 400 DA, soit presque le double de son prix à la veille du mois de tonnes de viandes rouges et blanches congelées ont été importées récemment par différents opérateurs publics et privés, alors que le ministère de l’agriculture avait autorisé, rappelle t-on, l’importation de la viande à ces mesures, il y a eu galement la constitution d’un stock de viandes blanches congelées estimé à tonnes dans le cadre du Système de régulation des produits agricoles de large aux prix des viandes, jugés élevés, ceux des fruits et légumes ont connu également des hausses, mais restent, selon plusieurs citoyens, à la portée des prix de la tomate oscillent sur les marchés algérois entre 50 et 80 DA, alors qu’ils se situaient avant le mois de Ramadhan dans une fourchette de 35 et 40 courgette est cédée entre 100 et même à 120 DA contre 60 DA une semaine auparavant, la carotte entre 80 et 120 DA/kg et les aubergines entre 70 et 80 DA/ prix de l’oignon et de la pomme de terre sont, par contre, restés quasiment stables, et s’affichent entre 40 et 50 DA/kg. Les étals du marché de Bachdjarah affichaient, en revanche, des prix relativement abordables » et n’ont pas enregistré de hausse » par rapport à ces derniers jours, selon plusieurs citoyens rencontrés par l’ Bachdjarah, la tomate, la courgette, les carottes et autres aubergines sont cédées respectivement à 25 DA, 70 DA, 50 DA, 35 DA le kilogramme, alors que les poivrons et le concombre sont cédés respectivement à 60 DA/kg et à 100 prix des fruits ont, de leur côté, connu une hausse considérable », ce qui a rendu ces produits inaccessibles » pour beaucoup de consommateurs, estime une fruits de saison comme le raisin et les pêches sont cédés entre 150 DA et 200 DA/kg. Les prix des dattes varient, selon la qualité, entre 250 et 450 DA/kg, alors que la pastèque et le melon sont cédés à 40 DA et 80-100 da/ sur les raisons de cette hausse, les commerçants ont été unanimes » et ont affirmé que la forte demande durant les premiers jours de chaque ramadhan était à l’origine de cette flambée, estimant que les prix connaîtront une baisse dès la deuxième semaine du mois
Du12 au 18 novembre 2017, en Algérie, les prix de la pomme de terre, l'oignon sec, la courgette et la datte au niveau des marchés de détails et
L’arrivée sur le marché des produits agricoles de saison n’est pas étrangère à cette baisse sensible des prix des fruits et légumes. Dans les marchés de Blida, qui concentre les produits des quatre marchés de gros de la région centre Attatba, Boufarik, Bougara et Les Eucalyptus, les ménagères ont en effet constaté une décrue significative des prix, notamment de la tomate 50-60 DA/kg, dont la tomate industrielle, revendue en moyenne entre 30 et 35 DA/kg. Les poivrons sont à 100 DA/kg alors que les carottes, navet et aubergine sont à moins de 70 DA/kg. La baisse la plus significative est celle des haricots blancs, vendus parfois à moins de 200 DA/kg, alors qu’en moyenne, leur prix ne descend pas au delà des 250 DA/kg. Au mois de ramadhan dernier, les haricots blancs s’étaient vendus à plus de 300 DA/kg. Même tendance baissière pour les autres types de haricots, dont celui dit ’grini », une variété de haricots rouge et blanc, vendue entre 150 et 180 DA/kg, alors que le haricot vert est cédé aux alentours des 120 DA/kg. La pomme de terre reste, quant à elle, scotchée autour des 40-50 DA le kg, mais le consommateur a le choix entre plusieurs variétés, celles d’Oued Souf ou des zones de production des régions ouest Mascara, Mostaganem, Aïn Defla…. Quant aux viandes, elles restent dans la moyenne annuelle, avec DA/kg pour la viande ovine ou bovine, alors que les prix du poulet font du ’yoyo » en raison du taux de mortalité des élevages durant la saison chaude. La décrue des prix des légumes est également constatée pour les fruits, avec une chute du prix de la pastèque à 25 DA/kg, alors que certains marchands vendent ce fruit à raison de 150 DA/pièce. La pêche est à 160 DA/kg, le brugnon et la nectarine à moins de 160 DA/kg et avec les premiers arrivages de raisin, le gros noir est vendu à 160 DA/kg. La pomme locale, assez bonne, juteuse et bien charnue est vendue cependant entre 220 et 250 DA/kg, le même prix que la poire, qui commence à entrer dans les marchés. Le melon reste, quant à lui, assez cher, entre 70 et 100 DA/kg, pour des raisons que les marchands se gardent d’évoquer, se contentant de dire que les prix sont excessifs au marché de gros. La décrue des prix des principaux produits agricoles frais avait commencé vers la mi-juin, qui avait coïncidé avec la fin du mois de ramadhan et les premières récoltes des produits de saison. En attendant les statistiques du mois de juin, l’évolution des prix à la consommation en rythme annuel avait été de 4,4% jusqu’à mai 2018, avait indiqué dans son dernier bilan sur l’inflation l’Office national des statistiques ONS. Dans ses projections, le gouvernement prévoit dans la loi de finances 2018 une inflation moyenne de 5,5%, soit une hausse généralisée des prix, et, surtout, un des effets directs du recours au financement non conventionnel, une trop grande masse fiduciaire en circulation sans contrepartie. En termes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont enregistré, selon l’ONS, une hausse de 3,7%, dont les prix des produits agricoles frais, qui ont augmenté de 6,4%. Globalement et durant le mois de mai dernier, il y a eu des hausses assez remarquables pour les légumes +15,1%, les fruits +9,6% et la viande blanche +6,8%. Par contre, certains produits alimentaires frais ont affiché des variations négatives, principalement les œufs -5,2% et le poisson -8,3%.
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