Leconflit contient aussi dans sa violence-même l'obligation de réfléchir à un nouveau style pour témoigner, comme le montre l'expression « Académie du cubisme » employée par Fernand Léger.. Mobilisé comme

CONCERT LE P'TIT FERNAND ET LA GRANDE GUERRE Dimanche 10 novembre 16h Espace Scénique de Montission En partenariat avec la Musique de Léonie Le p'tit Fernand et la Grande Guerre Une pièce musicale d’Eric Herbette et Julien Joubert Poèmes Guillaume Apollinaire, Eugène Dabit Chœur d’enfants Maîtrise de Léonard enfants de 8 à 13 ans. Chœur d’adultes ensemble vocal La bonne chanson entre 10 et 20 choristes expérimentés Direction Marie-Noëlle Maerten. Fernand, 13 ans, a un exposé à faire sur la première guerre mondiale. Après être passé au monument aux morts, Fernand demande à son père pourquoi il n’y a pas leur nom gravé sur le monument… Tout public. Entrée libre et gratuite
Depuisseptembre, la chorale du collège Yves-Le Bec prépare une création musicale intitulée Le Petit Fernand et la Grande Guerre.
Le p’tit Fernand et la grande guerre Châtelaudren - Côtes-d'armor - Evènements Important! Evènement passé Description Le p’tit Fernand et la grande guerre22170 ChâtelaudrenLe p’tit Fernand et la grande guerreGratuitLe p’tit Fernand et la grande guerreCulturelle Récital, chants chorale Spectacle Horaires * Date du 06 novembre 2018 au 08 novembre 2018 Horaire de 20h30 à 22h00 * Les manifestations pouvant être supprimées, annulées, ajournées, prenez contact avec les organisateurs avant de vous déplacer. Lieu 22170 - Châtelaudren - Châtelaudren 22170 Châtelaudren Le p’tit Fernand et la grande guerre Hôtels et locations proches. Réservez votre séjour Châtelaudren maintenant! CONTENUS SPONSORISÉS
Alorsque la guerre est déclarée depuis maintenant un mois, le petit village de Fresnes semble bien tranquille lorsque le 30 août à 18h45, un avion s’écrase sur le chemin de Chevilly. Le petit monoplan, un REP type K (photo ci-contre), était conduit par deux pilotes, dont l’un, Maurice HENRIOT, deviendra un as avec 6 victoires homologuées. L’avion est bâché et gardé par des
L'école des paysans par Michel BOULET BARBIER, B., 1875. La Savoie industrielle ». Mémoires de l’Académie de Savoie,Troisième série, II. BARRAL, Pierre, 2000. Le député Plissonnier, un prophète oublié » In BOULET, Michel, dir., 2000. Les enjeux de la formation des acteurs de l'agriculture. 1760-1945. Actes du colloque ENESAD, 19-21 janvier 1999. Dijon, Educagri éditions, 526 p. ; p. 41-44. BERTHOD, Pierre, 1994. Les comtes Marin à Servolex. Document polymultiplié, 60 p. BIAGIOLI, G. e PAZZAGLI, R., 2004. Agricoltura come manifattura”. Istruzione agraria, professionalizzazione e sviluppo agricolo nell'Ottocento. Firenze, Olschki, 2 tomes, BONAZZI, Roger, 2013. Vie économique et histoire des entreprises de Haute-Savoie de 1815 à 2012. Chambéry, SSHA ; Saint-Julien-en-Genevois, La Salévienne, 480 p. BOUCHAGE, chanoine Léon, 1900. Un économiste savoyard, le marquis Alexis Costa, 1726-1797. Quelques notes » Congrès des Sociétés savantes savoisiennes tenu à Chambéry les 17,18 et 19 août 1899. Quinzième session. Chambéry, Imprimerie savoisienne, 260 p. ; p. 173-204. BOULET, Michel, 1987. Les colonies agricoles une forme d'enseignement ? ».Annales d'histoire des enseignements agricoles, n° 2, p. 51-61. BOULET, Michel, 1990. Le fonctionnaire et le paysan, 1836-1912, Dijon, INRAP, 64 p. BOULET, Michel, 1997. La construction de l'articulation école-entreprise dans l'enseignement agricole 1820-1912 ». Formation Emploi, n° 57, p. 35-44. BOULET, Michel, dir., 2000. Les enjeux de la formation des acteurs de l'agriculture. 1760-1945. Actes du colloque ENESAD, 19-21 janvier 1999. Dijon, Educagri éditions, 526 p. BOULET, Michel, dir., 2003. La formation des acteurs de l'agriculture. Continuités et ruptures, 1945-1985. Actes du colloque ENESAD, 27-29 novembre 2011. Dijon, Educagri éditions, 226 p. BOULET, Michel, 2012. Notables et laboureurs. De l'Association agricole aux sociétés départementales d'agriculture 1840-1865 ». Colloque de l'Université de Savoie, ''1860. La Savoie, la France et l'Europe'', Chambéry, 22-26 novembre MILBACH, Sylvain, dir. 1860. La Savoie, la France et l'Europe. Bruxelles, Peter Lang, 2012, 562 p. ; p. 143-159. BOULET, Michel ; LELORRAIN, Anne-Marie et VIVIER, Nadine, 1998. 1848. Le printemps de l'enseignement agricole. Dijon, Éducagri éditions, 142 p. BOURDE, André J., 1967. Agronomie et agronomes en France au XVIIIe siècle. Thèse pour le doctorat ès lettres de l'université de Paris. Paris, SEVPEN, trois volumes, 1740 p. BOURRIGAUD, René, 1993. Le développement agricole au XIXe siècle en Loire-Atlantique. Essai sur l'histoire des techniques et des institutions. Thèse de doctorat. Université de Nantes, UFR de droit et sciences politiques, 685 p. ; publié en 1994 Le développement agricole au XIXe siècle en Loire-Atlantique Nantes, Centre d'Histoire du Travail, 496 p. BRAUDEL, Fernand, 1986. L’identité de la France – Paris Éditions Arthaud ; réédition Paris Flammarion, 1990 - coll. Champs » - T. 1 Espace et histoire, 410 p. ; Les hommes et les choses -1ère partie Le nombre et les fluctuations longues, 246 p. ; Les hommes et les choses - 2e partie Une économie paysanne » jusqu’au XXè siècle, 536 p. BURGOD – DERRIER, Michelle, 1972. Joseph Alexis Barthélemy COSTA de BEAUREGARD et la Société royale pour l’Agriculture, le Commerce et les Arts de la ville de Chambéry. TER, université de Grenoble, faculté des lettres et Sciences humaines, 135 p. + VI. CARDOZA, Anthony L., 1992. L’associazione agraria subalpina e i rapporti tra nobilta e borghesia nel Piemonte preunitario», In Roberto FINZI a cura di. Fra studio, politica ed economia la Societa agraria dalle origini all’età Istituto per la storia de Bologna, 657 p.; p. 218-231. CARLIER, Christian, 1994. La prison aux champs. Les colonies d'enfants délinquants du Nord de la France au XIX e siècle. Paris, Les éditions de l'Atelier, 725 p. CHARMASSON, Thérèse, 1996. Agriculture, économie rurale et histoire naturelle dans l'enseignement projets et réalisations de la période révolutionnaire », Revue du Nord LXXVIII, n°317, octobre-décembre 1996, pp. 753-769. CHARMASSON, Thérèse; LELORRAIN, Anne-Marie et RIPA, Yannick, agricole et vétérinaire de la Révolution à la Libération. Textes officiels avec introduction, notes et annexes. Paris INRP - Publications de la Sorbonne. CXLV + 746 p. CHARTIER, Daniel, 2003. A l'aube des formations par alternance. Histoire d'une pédagogie associative dans le monde agricole et rural. 2e édition actualisée. Paris, Éditions l'Harmattan, 248 p. ; p. 124-127. CHETAIL, Joannès, 1972. La société économique d’agriculture, ancêtre de l’Académie de Savoie » in Congrès des sociétés savantes de Savoie. Chambéry 1972. La vie culturelle et artistique en Savoie à travers les âges. Chambéry, Union des sociétés savantes de Savoie, Archives départementales de Savoie, 253 p. ; 147-154. COSTA de BEAUREGARD, Alexis, 1774. Essai sur l'amélioration de l'agriculture dans les pays montueux et en particulier dans la Savoie. Avec des recherches sur les principes et les moyens propres à y augmenter la population, la vivification et le bien-être des peuples. Chambéry, imprimerie Gorrin, 287 p. + planches. DEVAUD, L., 1937. Les ressources économiques de la Savoie. Chambéry, Librairie Dardel, 186 p. DUFOURNET, Paul, 1989. La Savoie dans la Révolution avec les conventionnels Jean-Baptiste Carelli de Bassy, ci-devant comte de Cevins, baron de l’Empire et Anthelme Marin. Mémoires et documents publiés par l’Académie salésienne, t. 96, 324 p. DUPRAZ, Paul, 2007. De Lyon à Turin avec un savant agronome passionné de progrès, lettré et homme de bien, Matthieu Bonafous 1793-1852. » Mémoires de l’Académie de Savoie, VIII, p. 205-219. DUVIGNEAU, Marion, 1991. Les journaux d’agriculture pratique et d’économie rurale entre 1828 et 1848. Propagation des progrès agricoles dans la France des pour l’obtention du diplôme d’archiviste-paléographe. Paris, École nationale des Chartes, 3 volumes, 548 p. + annexes. FALCOZ, Paulette, 1996. En Savoie, de l'école ambulante ménagère agricole au lycée professionnel agricole de Cognin. Histoire à travers le siècle. multigraphié, 39 p. FLEURY LACOSTE, 1861. Cours élémentaire d’agriculture à l’usage des écoles primaires, Chambéry, Imprimerie de Puthod fils, 232 p. GOBBO, Raffaella, 2002. Innovazione agraria nel podere sperimentale di Sandigliano 1841-1851 ». Studi e ricerche sul biellese, p. 145-166. GROSPERRIN, Bernard, 1985. La lenteur des changements » in DEVOS, Roger et GROSPERRIN, Bernard. La Savoie de la Réforme à la Révolution française. Rennes, Ouest-France, 466 p. ; p. 495-551. GUICHONNET, Paul, 1949. L'enquête de 1849 sur les besoins de la Savoie ».Annales savoisiennes, 1ère année, n° 1, p. 42-60 GUICHONNET, Paul, 1959. Cavour et la Savoie ». Revue de Savoie, n° 1, GUICHONNET, Paul, 1961. Cavour agronomo e uomo d’affari. Milano, Feltrinelli editore, 232 p. GUILLON, J-M, 1911. Les écoles ambulantes d’agriculture pour jeunes filles écoles ménagères et pour jeunes gens » Bulletin mensuel de l’enseignement agricole, juin, p. 711-736. HUBSCHER, Ronald, 1986. Le film agricole une nouvelle pédagogie ? » Annales d'Histoire des enseignements agricoles, n° 1, JOIGNEAUX, Pierre, 1861. Conseils à la jeune fermière. Paris, V. Masson et fils, 176 p. JUDET, Pierre, 2004. Horlogeries et horlogers en Faucigny 1849-1934. Les métamorphoses d'une identité sociale et politique. Grenoble, PUG, coll. ''La Pierre et l'Écrit'', 487 p. JUDET, Pierre, 2006. La pluri-activité archaïsme ou modernité ? L’exemple de l’arc alpin XIXe et première moitié du XXe siècle » dans Jean-Luc MAYAUD et Lutz RAPHAEL, dir. Histoire de l’Europe rurale contemporaine. Du village à l’État. Paris, Armand Colin, 405 p. ; p. 21-38. JULLIARD, Jean-Yves, 2011. Les écoles élémentaires en Savoie de l'Ancien Régime à la Première guerre mondiale. Chambéry, SSHA, 136 p. coll. ''L'Histoire en Savoie'', n° 22. LELORRAIN, Anne-Marie, 1992. La vie quotidienne de l'enseignement agricole ménager 1913-1922 », Annales d'histoire des enseignements agricoles, n° 4-5, p. 31-41. LELORRAIN, Anne-Marie, 2003. L'impossible réforme de l'enseignement agricole 1945-1960 » In BOULET, Michel, dir. La formation des acteurs de l'agriculture. Continuités et ruptures, 1945-1985. Actes du colloque ENESAD, 27-29 novembre 2011. Dijon, Educagri éditions, 226 p. ; p. 33-38. LOVIE, Jacques, 1956. La chambre royale d’agriculture et de commerce de la Savoie 1825-1860 » Revue de Savoie, p. 259-271. MAURIN, Yvette, 1992. Hofwyl vue par les agronomes français philanthropie ou école d'agriculture modèle ? », Annales d'histoire des enseignements agricoles, n° 4-5, p. 23-29. MAYAUD, Jean-Luc et RAPHAEL, Lutz, dir., 2006. Histoire de l’Europe rurale contemporaine. Du village à l’État. Paris, Armand Colin, 405 p. MILBACH, Sylvain, 2008. Entre Piémont et France la Savoie déroutée, Université de Savoie, 302 p. MILBACH, Sylvain, dir., 2012. 1860. La Savoie, la France et l'Europe. Bruxelles, Peter Lang, 562 p. MILBACH, sylvain, ed., 2012. Jean Fleury Lacoste. Scènes de la vie en Savoie au XIXe siècle. Chambéry, Société savoisienne d'Histoire et d'Archéologie, Mémoires et Documents, CXV, 168 p. Ministère de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics, 1869. Enquête agricole. Enquêtes départementales, 25e circonscription, Hautes-Alpes, Haute-Savoie, Savoie, Isère. Paris, Imprimerie impériale, 297 p. Ministère de l’Agriculture, 1894. Rapport sur l’enseignement agricole en France publié par ordre de Monsieur Viger, ministre de l’agriculture. Paris, Imprimerie nationale, 2 tomes, 270 et 274 p. Ministère de l'Agriculture, 1921. Enseignement agricole. Lois, décrets, arrêtés, circulaires et instructions. Paris, Imprimerie nationale, 246 p. MORICEAU, Jean-Marc, 1994. Au rendez-vous de la révolution agricole » dans la France du XVIIIe siècle. A propos des régions de grande culture» - Annales HSS, janvier-février 1994, n°1, pp. 27-63. NICOLAS, Jean, 2003. La Savoie au XVIIIe siècle. Noblesse et bourgeoisie. Montmélian, La Fontaine de Siloé, 1244 p. PALLUEL, Joseph, an XIII 1804 et 1805. Annuaire statistique du département du Mont-Blanc pour l’an XIII. Chambéry, Imp. Cléaz et Gorrin. PALLUEL-GUILLARD, André, 1992. Les Costa, une grande famille de Savoie. SSHA, Histoire en Savoie, n° 107, 48 p. PAXTON, Robert O., 1996. Le temps des chemises vertes. Révoltes paysannes et fascisme rural, 1929-1939. Paris, Seuil, coll. L'univers historique », 316 p. PAZZAGLI, Rossano, 2004. Istruzione e nuova agricoltura in Italia la fortuna del modello di Cosimo Ridolfi », in BIAGIOLI, G. e. PAZZAGLI, R. Agricoltura come manifattura. Istruzione agraria, professionalizzazione e sviluppo agricolo nell'Ottocento. Firenze, Olschki, t. II, pp. 255-284. PAZZAGLI, Rossano, 2008. Il sapere dell’agricoltura. Istruzione, cultura, economia nell’Italia dell’Ottocento. Milano, Franco Angeli, 336 p. PERRIER de la BâTHIE, Eugène, 1917 et 1928. Catalogue raisonné des plantes vasculaires de Savoie. Départements de la Savoie et de la Haute-Savoie. Plateau du Mont-Cenis » Tome I, Mémoires de l’Académie de Savoie, n° 5 – IV, p. XI – XLV, 1-433 et tome II, Mémoires de l’Académie de Savoie, n° 5 – V, p. 1-415. PILLET, Louis, 1891. Histoire de l'Académie des sciences, belles lettres et arts de Savoie de 1820 à 1860. Chambéry, Imprimerie savoisienne, 343 p. PLISSONNIER, Simon, 1919. La réforme de l'enseignement agricole. Paris, Dunod, 413 p. RADIOYES, Joseph, 2005. L’enseignement agricole privé catholique en France. Une longue histoire. Paris, Éditions L’Harmattan, 429 p. RAYMOND, Justinien, 1983. La Haute-Savoie sous la IIIe République. Histoire économique, sociale et politique. Paris, Atelier national de reproduction des thèses. Édition du Champ Vallon, 2 tomes, 1171 p. SAINT-MARTIN, Michel, 1835. Lettre sur une école d’agriculture en Toscane adressée à Monsieur Matthieu Bonafous ». Paris, Mme Huzard, 32 p. ; reproduit in Annales d’Histoire des enseignements agricoles, n°2, 1987, pp 42-49. SAUSSAY, 1804. Statistique du département du Mont-Blanc, Paris, an IX, 125 p. SERRES, Olivier de, 1600. Théâtre d’agriculture et mesnage des champs. Paris, Jamet Métayer, 1004 p TISSERAND, Eugène, 1894. Considérations générales et législation » In Ministère de l'Agriculture Rapport sur l'enseignement agricole en France publié par ordre de Monsieur Viger, ministre de l'agriculture. Paris, Imprimerie nationale, T. I, 270 p. TOCHON, Pierre, 1871. Histoire de l’agriculture en Savoie, depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours. Chambéry, imprimerie de F. Puthod, 262 p. TOCHON Pierre, 1877. L’instruction agricole dans les écoles primaires en Savoie », Bulletin trimestriel de la SCA, 1er juillet. VERNEILH, 1807. Statistique du département du Mont Blanc. Paris, Testu, 560 p {backbutton} La franc-maçonnerie dans les pays de Savoie Indications bibliographique par Romain MARECHAL ANONYME, Centenaire de la fondation de la loge L’Allobrogie à l’orient d’Annecy, 1861-1961, Paris, Edition de la Clé de Voûte, 1961. ANONYME, Compte-rendu des travaux de secours fondé à Chambéry pendant l’épidémie cholérique de 1867 par la loge L’Espérance Savoisienne à l’orient de Chambéry, Chambéry, Impr. Ménard, 1867, 32p. ANONYME, Notices sur les loges ayant existé dans la Haute-Savoie depuis les origines jusqu’en 1860, et sur la loge L’Allobrogie à l’orient d’Annecy, historique de l’atelier, 1861-1911, Chambéry, Impr. Chambérienne, 51p. P. BERNARD, Les commencements de la franc-maçonnerie en Savoie, Chambéry, Imprimerie réunis de Chambéry, 1942, 87p. A. BERNHEIM, Les débuts de la franc-maçonnerie à Genève et en Suisse, Genève, Slatkine, 1994, 674p. C. CASTOR, confrérie et franc-maçonnerie à Samoëns » dans Congrès des sociétés savantes de Savoie –Vie religieuse en Savoie, mentalités, associations-, 1986, Annecy, p. 41-48. C. CASTOR, franc-maçonnerie et révolution en Faucigny » dans Actes du colloque de l’Académie chablaisienne, Thonon, 14 octobre 1989, Tome LXV, p. 9-19. J. CEULEMANS, L’épiscopat et la franc-maçonnerie, les écrits de Mgr Rosset », Travaux de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Maurienne, 2002, p. 141 à 156. M. CUGNET, Deux siècles et demi de franc-maçonnerie en Suisse et dans le pays de Neuchâtel, Edition du Chevron, 1991, 213p. E. DERMENGHEN, Joseph de Maistre mystique, ses rapports avec le martinisme, l’illuminisme et la franc-maçonnerie ; l’influence des doctrines mystiques et occultes sur la pensée religieuse, Paris, La Connaissance, 1923, 340p. L. ESTOPPEY, Notice historique publiée à l’occasion du centenaire de la loge Espérance et Cordialité, orient de Lausanne, 1822-1922, Lausanne, Genens, 1972. A. GROS, Une loge maçonnique à Saint-Jean de Maurienne » dans Travaux de la société d’histoire et d’archéologie de Maurienne, 1916, p. 23 à 30. P. GUICHONNET, L’Histoire savoyarde, La franc-maçonnerie sous le Second Empire et la Troisième République », Le Messager, 25 01 1980. P. GUICHONNET, L’Histoire savoyarde, La franc-maçonnerie et la vie politique sous la Troisième République », Le Messager, 01 02 1980. R. MARECHAL, sous la direction de C. SORREL, La franc-maçonnerie dans les pays de Savoie 1856-1944, Université de Savoie, 2004, 642p. R. MARECHAL, La franc-maçonnerie dans les pays de Savoie 1856-1944, Chambéry, SSHA, 2008, 231p. J. NICOLAS, Noblesse, élites et maçonnerie dans la Savoie du XVIIIe siècle, l’illuminisme et la franc-maçonnerie », Acte de colloque de Chambéry, mai 1979, Revue des études maistriennes, 1980 n°5 et 6. p. 47-63. A. PLETTI, Résumé de la loge chapitrale, La Fraternité à l’orient de Genève, Suisse. Centième anniversaire, 1798-1898, 96p. Mgr. ROSSET, La franc-maçonnerie et les moyens pour arrêter ses ravages, Paris, Librairie Victor Lecoffe, 1881, 304p. F. RUCHON, Histoire de la franc-maçonnerie à Genève de 1736 à 1900, Genève, Impr. Atar, 1935, 319p. TISSOT l’abbé, La franc-maçonnerie en Haute-Savoie, document pour servir à l’histoire d’une société secrète dans ce département, la loge de Cluses Le Réveil du Faucigny, Annecy, V. Roche, 1913, 110p. R. TRIOMPHE, Joseph de Maistre, étude sur la vie et sur la doctrine d’un matérialiste mystique, Genève, Droz, 1968, 673p. F. VERMALE, La franc-maçonnerie savoisienne à l’époque révolutionnaire d’après ses registres secrets, Paris, Lerroux, 1912, 70p. Les francs-maçons de l’obédience du Suprême Conseil de France, orient de Chambéry, au souverain pontife de la Religion Catholique, Apostolique et Romaine, Chambéry, Impr. Ménard, s d, 4p. La franc-maçonnerie sous la Révolution en Savoie », dans Revue Internationale des Sociétés Secrètes, Paris, 1912, p. 392 à 400. La quête symbolique du franc-maçon à l’aube du troisième millénaire, loge Saint-Jean des Trois Mortiers, Table d’émeraude, Saint-Leu-la-Fôret Val d’Oise, 2000, 112p. {backbutton} L'occupation espagnole de la Savoie 1742-1749 Supplément bibliographique par Alain BECCHIA, Professeur à l’Université de Savoie Cette bibliographie est un complément de celle parue dans le volume de L’Histoire en Savoie numéro 13. 1. Abade León Felipe, El Marqués de la Ensenada, su vida y su obra, Madrid, Editorial Naval, 1985, 391 p. 2. Alfonso M., Martinez Shaw C., Felipe V, Arlanza Ediciones, Madrid, 2001. 3. Arvers colonel Paul, éd., Les guerres des Alpes. La guerre de Succession d’Autriche dans les Alpes, 1742-1748 de François-Eugène de Vault [Directeur du dépôt de la Guerre de 1763 à 1790], Paris Nancy, 1892, 2 vol. traduction d’archives du Ministère de la guerre espagnol et d’une autobiographie de La Mina. 4. Arvers colonel Paul, éd., Principes de la guerre de montagnes de Pierre-Joseph Bourcet, Paris, Imprimerie Nationale, 1888, IV-321 p. et atlas de 33 pl. 5. Arves Martin d’, Note sur l’invasion des troupes espagnoles en Savoie », suivie du Placet présenté à Sa Majesté Catholique pour les peuples du duché de Savoie. Très humbles représentations à Sa Majesté Catholique au nom des peuples du duché de Savoie », Travaux de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Maurienne, 3ème bulletin, 1862, p. 415-441. 6. Aubout Léon, Visite des journalistes espagnols 1950 », Cahiers du Vieux Conflans, mars 1950, p. 89-92. 7. Aubert Hippolyte, La Cour d’Espagne et la situation de la Savoie en 1746 d’après une correspondance contemporaine, Paris, Leroux, 1891, 26 p. [tiré à part de la Revue d’Histoire Diplomatique, 1891]. 8. Avezou Robert, Histoire de la Savoie, Que sais-je n°151, Paris, 1963, 126 p. 9. Barbero Dominique, Paroisses et communes de France. Dictionnaire d’histoire administratives et démographique. Savoie, Paris, Editions du 1979, 428 p. 10. Bély Lucien, Les relations internationales en Europe, XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, Presses Universitaires de France, 2001, 731 p. 11. Berjaud Frédéric, Les régiments provinciaux du duché de Savoie 1713-1789 », mémoire de maîtrise sous la direction de B. Grosperrin, Université de Savoie, 1990, 161 p. 12. Berjaud Frédéric, Les régiments provinciaux », Armées de Savoie avant l’annexion de 1860, L’Histoire en Savoie n°109, 1993, p. 27-35. 13. Berjaud Frédéric, Palluel-Guillard André, Armées et troupes d’ordonnance aux XVIIe et XVIIIe siècles », Armées de Savoie avant l’annexion de 1860, L’Histoire en Savoie n°109, 1993, p. 20-26. 14. Bernard Gilles, La Savoie sous l’occupation espagnole 1742- 1749 », mémoire de maîtrise sous la direction de B. Grosperrin, Université de Savoie, 1980, 58 p. 15. Berthollet Alexandra, Les délibérations communales à Fourneaux, Modane et Saint-Michel au XVIIIe siècle », mémoire de Maîtrise sous la direction de F. Meyer, Université de Savoie, 2000. 16. Bianchia Paola, Onore e Mestiere. Le riforme militari nel Piemonte del Settecento, collona del dipartimento di storia dell’università di Torino, Torino, Silvio Zamorani Editore, 2002, 338 p. 17. Billiet Mgr Alexis, Communication sur deux documents relatifs à l’entrée des Espagnols en Savoie, en 1742 », Mémoires de l’Académie de Savoie, 2ème série, t. I, 1851, p. XXXIII-XXXIX. 18. Blanc Andrée, Guerre de Succession d’Autriche, occupation espagnole », Le Petit Colporteur du Faucigny, t. 8, 2001, p. 39-41. 19. Blanc-Garin Jocelyne, Yenne, ville bugiste à la frontière française de la fin du XVIème siècle à la fin du XVIIIème siècle », sous la direction de B. Grosperrin, 1993, 195 p. 20. Bonnefoy abbé Notes inédites sur la guerre des Espagnols en Savoie pendant la campagne de 1742 », Mémoires de la Société royale académique de Savoie, 1ère série, vol. IX, 1839, p. 208-237 également tiré à part, Chambéry, impr. Puthod, 1838, 32 p. 21. Borson Francisque, Communication sur Charles-Albert et un épisode de la campagne de Novare », Mémoires de l’Académie de Savoie, 1897, p. XXVII-XL. 22. Bouvier Amélie, Les attitudes devant la mort d’après les clauses testamentaires en Albanais au XVIIIème siècle », mémoire de maîtrise sous la direction de F. Meyer, Université de Savoie, 2006, 184 p. + annexes. 23. Bouvier abbé Joseph, Prise du château d’Apremont par l’armée espagnole en 1742 et ravages et atrocités des soldats espagnols extrait du registre de la paroisse de Saint-Baldolph, 1742-1793 », 3 p. dactylographiées, J 397. 24. Buchot Claude, Etat des fournitures de toutes espèces faites à l’armée d’Espagne depuis le 1er septembre 1742 jusqu’au 1er juillet 1744, par les communautés de Bourg-Saint-Maurice, Hauteville-Gondon et Pesey », Recueil des Mémoires et Documents de l’Académie de la Vald’Isère, 1887, p. 80 hors-textes. 25. Burnier Eugène, Histoire du Sénat de Savoie et des autres compagnies judiciaires de la même province, Mémoires de l’Académie Impériale des Sciences, Belles Lettres et Arts de Savoie, 2ème série, tome VII, 1864-1865, 578 p. 26. Châtelain Claude, Baud Georges, Histoire de la vallée de Bellevaux, 1973, Thonon, impr. Sopizet 156 p. 27. Chavoutier abbé Lucien, Les billets de réquisition des troupes d’occupation en Savoie 1553 -1749 », Soldats et armées en Savoie, actes du XXVIIIème Congrès des Sociétés Savantes de Savoie, Saint-Jean-de- Maurienne, 6 et 7 septembre 1980, n° spécial de L’Histoire en Savoie, 1981, p. 227-240. 28. Chetail Joannès, Histoire secrète de la Sainte-Chapelle. Une course au titre de chanoine », Société des Amis du Vieux Chambéry, Bulletin n°18, 1979, p. 60-67. 29. Chevrier Emilie, Le théâtre à Chambéry de 1740 à 1826 », mémoire de maîtrise sous la direction de A. Becchia, Université de Savoie, 2004, 136 p. 30. Coca Antonia, Les Espagnols en Savoie, 1742-1748, d’après les archives espagnoles », mémoire de maîtrise sous la direction de B. Grosperrin, Université de Savoie, 1990, 266 p. 31. Colonna d’Istria, Robert, Histoire de la Savoie, Paris, France Empire, 2002, 318 p. 32. Constantin A., Origine de la légende du massacre des Espagnols à Annecy », Revue Savoisienne, 1896, p. 25-28. 33. Costa de Beauregard marquis Joseph Henry, Mémoires historiques sur la maison royale de Savoie et sur les pays soumis à sa domination …, t. 3, Turin, P. J. Pic libraire, 1816, 454 p. 34. Coutin François, La bataille de l’Assiette 19 juillet 1747 », Présence Savoisienne - Cercle de l’Annonciade, 1979, p. 1-291. 35. Croisollet François, Histoire de Rumilly. Abrégé chronologique des principaux faits municipaux, militaires, ecclésiastiques et littéraires de la ville de Rumilly Haute-Savoie depuis l’époque romaine jusqu’à la fin de l’année 1866, Chambéry, imprimerie de F. Puthod, 1869 ; réimpression Editions du Champ Vallon, 1981, 430 p. 36. Croisollet François, Extrait littéral et analytique d’un manuscrit intitulé Visitation. Second volume des annales du monastère de la Visitation 1703-1751 », Mémoires et documents publiés par la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. XXII, 1884, p. 245-354. 37. Curral Sophie, L’Hôtel-Dieu de Chambéry au XVIIIe siècle », mémoire de maîtrise sous la direction de M. Vergé-Franceschi, Université de Savoie, 1997, 226 p. 38. Daniel Maurice, Don Philippe, généralissime de l’armée espagnole de Savoie 1742-1748 », Mémoires de l’Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Savoie, série 6, t. IV, 1960, 39. Descotes François, Les chevaliers-tireurs de Rumilly », Revue Savoisienne, 1868, p. 104-107. 40. Devos Roger, dir., Histoire d’Ugine, Annecy, Mémoires et Documents publiés par l’Académie Salésienne, t. XLVIII bis, 1975, 532 p. 41. Devos Roger, Grosperrin Bernard, La Savoie de la Réforme à la Révolution, t. III de l’Histoire de la Savoie, sous la direction de Jean-Pierre Leguay, Rennes, Ouest-France, 1985, 556 p. 42. Ducis abbé Claude-Antoine, Une vallée de Savoie », Revue Savoisienne, 1863, p. 77-80 et 96-97. 43. Ducis abbé Claude-Antoine, Noms des mas consignés au cadastre d’Annecy-la-Ville de 1730 », Revue Savoisienne, 1866, p. 59-60. 44. Ducis abbé Claude-Antoine, Episodes de la dernière occupation espagnole », [récits de Carsey à Marthod, de Gachet à Beaufort, de Bergonsy à Saint-Martin-de-Belleville], Revue Savoisienne, 1870, p. 35-38, 47-49, 62-65 et 75-77. 45. Ducis abbé Claude-Antoine, Mémoire secret sur la Savoie en 1745, présenté au Cabinet de Versailles pendant l’occupation espagnole par M. De Bonnaire, Annecy Thésio Louis, 1870, 46 p., extrait de la Revue Savoisienne, 1870. Archives départementales BC 593 Savoie. 46. Ducis abbé Claude-Antoine, Occupations, neutralité militaire et annexion de la Savoie », Revue Savoisienne, 1877, 164 p. [tiré à part Dumaine J. éditeur, 1877, 164 p. 47. Ducis abbé Claude-Antoine, Henri de Savoie et Anne de Lorraine » 2ème partie, Revue Savoisienne, n°10, 31 octobre 1882, p. 77-78 et 30novembre 1882, p. 85-87. 48. Ducis abbé Claude-Antoine, Gonthier abbé Jean-François, L’occupation espagnole au siècle dernier », Revue Savoisienne, 1873, et 101-104. 49. Dufour Auguste, Communication sur une requête de la communauté d’Apremont au sujet de la reconstruction de son église et de son presbytère incendiés 1742, Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, 1876, p. LXXXIII. 50. Dumollard Révérend, Note sur le séjour des Espagnols à Apremont », Mémoires de l’Académie de Savoie, 2ème série, vol. 1, 1851, p. XXXIV-XXXVI. 51. Dunoyer Delphine, La vie des Septimontains à l’époque du marquisat, 1699-1754 », mémoire de maîtrise sous la direction de F. Meyer, Université de Savoie, 2004, 150 p. 52. Duverney Jean-Yves, Mines et métallurgie en Savoie du sud aux XVIIe et XVIIIe siècles », sous la direction de B. Grosperrin, Université de Savoie, 1988, 170 p. 53. Edighoffer Roland, Histoire de la Savoie, Que sais-je ? n°151, Paris, Presses Universitaires de France, 1992, 127 p. 54. Eguía Ruiz Constancio, El Marqués de la Ensenada segun su confidente, Madrid, Razon y Fe, 1922, 114 p. 55. Fernández San Román Eduardo, Memorias militares de D. Jaime Miguel de Guzmán Dávalos de la Mina ... sobre la Guerra de Cerdeña y Sicilia, Madrid, Establecimiento tipográfico de Fortanet, 1898, 2 vol. 56. Filliard Jeannine, Messiez-Poche Pierre, Palluel-Guillard André, Le château de Chambéry », L’Histoire en Savoie, Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, 1991, 47 p. 57. Foras Amédée de, Armorial et nobiliaire de l’ancien duché de Savoie, Grenoble, Allier, 6 vol., 1878-1910. 58. Foray Camille Gabriel, Monographie historique de la Basse- Maurienne en Savoie », Mémoire de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Maurienne, 1862, vol. I, p. 73-157. 59. Galleani d’Agliano Gaspare, Memorie storiche sulla guerra del Piemonte dal 1741 al 1747, Société d’Histoire et d’Archéologie de Maurienne, 1840, 460 p. 60. Gila padre Roque Antonio, Sermon funebre de el excmo. señor don Jaime Miguel de Guzman &c. Marqués de la Mina, &c. grande de España de primera clase... el 29 de enero de 1767 , Barcelona, por Thomas Piferrer ..., [1767], XLVI p. 61. Gómez Urdáñez J. L., El proyecto reformista de Ensenada, Lleida, Milenio, 1996 62. Gómez Urdáñez J. L., Ferbnando VI, Arlanza Ediciones, Madrid, 2001. 63. Gonthier abbé La Caille suite et fin », Revue Savoisienne, 1898, p. 51. 64. González C., La red política del ministro de la Ensenada, Madrid, Fundación Jorge Juan, 2004. 65. Gros abbé Adolphe, La commune de Saint-André pendant l’occupation espagnole 1742-1748 », Congrès des Sociétés Savantes Savoisiennes, Aiguebelle, 6-8 août 1894, t. XIII 1895, p. 173-180. 66. Gros abbé Adolphe, Une émigration en Espagne », Société d’Histoire et d’Archéologie de Maurienne, 1911, p. 128-134. 67. Gros abbé Adolphe, Les noms de famille prétendus espagnols », Société d’Histoire et d’Archéologie de Maurienne, 1924, p. 23-26. 68. Gros chanoine Adolphe, Histoire de Maurienne, t. III La Maurienne sous les rois de Sardaigne de 1718 à la Révolution, Chambéry, Imprimeries réunies, 1947, 279 p. 69. Guichonnet Paul, dir., Histoire d’Annecy, coll. Pays et villes de France, Toulouse, Privat, 1987, 336 p. 70. Guichonnet Paul, dir., Nouvelle histoire de la Savoie, coll. Univers de la France, Editions Privat, 1996, 366 p. 71. Guigues Jules, Communication sur le régiment suisse d’Arregger au service de l’Espagne à Grésy-sur-Isère », Mémoires et Documents publiés par la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. XXXV, 1896, p. LXXXVI. 72. Guigues Jules, Communication sur les vestiges d’un ancien pont dit des Espagnols à Fréterive 1742 », Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, 1894, p. CXX-CXXI. 73. Guzmán Dávalos y Spínola Jaime Miguel de, Marquès de la Mina, Maximas para la guerra sacadas de las obras del... sr. Marqués de la Mina, Capitàn Generàl de los Exercitos del Rey, con un Epitome de su vida, Tolosa, Pedro Robert, [1767], 411 p. 74. Hudry abbé François Marius, Affaire de paternité à Conflans, 1747 », Cahiers du Vieux Conflans, n°129, 1981, p. 41-44. 75. Hudry abbé François Marius, Histoire des communes savoyardes, Roanne Le Coteau, Editions Horvath, 1982, 4 vol. 76. Jacquet Abel, Ville-La-Grand, Mémoires et Documents publiés par l’Académie Salésienne, t. LXXXII, Annecy, 1970, p. 5-243. 77. Jacquier Fanny, Les barnabites à Thonon, XVIIe-XVIIIe s. », mémoire de maîtrise sous la direction de F. Meyer, Université de Rouen, 2006, 244 p. 78. Jullien Richard, Evian au fil du temps, Association pour la mémoire d’Evian, 1985, 48 p. 79. Kaczmarec Sylvie, Etude démographique et statistique de la population de Cluses au XVIIIe siècle, d’après les registres paroissiaux de la ville de 1700 à 1792 », mémoire de maîtrise sous la direction de A. Becchia, Université de Savoie, 2005, 267 p. 80. Khalifa Nora, La Savoie sous l’occupation espagnole au cours de la guerre de Succession d’Autriche 1742-1749 », mémoire de maîtrise sous la direction de M. Vergé-Franceschi, Université de Savoie, 1997, 65 p. plus annexes non paginées. 81. Laracine Hector, 1745, occupation espagnole. Emprisonnement de six délégués de la Province de Savoie au château fort de Miolans, Chambéry, Imprimerie Savoisienne, 1891, 30 p. 82. Leclerc Sébastien, Les malades de l’Hôtel-Dieu de Chambéry 1721-1789 », mémoire de maîtrise sous la direction de Michel Vergé Franceschi, Université de Savoie, juin 1997, 138 p. et un vol. d’ Levi-Pinard G., La vie quotidienne à Vallorcine au XVIIIe siècle, Annecy, Académie Salésienne, 1975 réimpression, 1983. 84. Maire Dr Henry-Alain, Les Espagnols à Apremont », Bulletin de l’Association des Amis de Montmélian et de ses environs, n°41 décembre 1988, p. Martin Jean-Pierre, La plus haute bataille de l’Ancien Régime, L’Assiette 19 juillet 1747 », Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, 1998, p. 189-205. 86. Massé Jean E., Les Espagnols à Carouge, Genève se défend 1742- 1744, planches hors texte, carte des opérations en Savoie, Genève, Librairie Jullien, 1992. 87. Ménabréa Henri, Histoire de la Savoie, Paris, Grasset, 1933 ; nouvelle édition, Chambéry, Editions du Centenaire, Librairie Dardel, 1960, 391p. ; réédition Curandera, 1988, 399 p. ; réédition, Montmélian, La Fontaine de Siloé,2000. 88. Melendreras Gimeno Las campanas de Italia durante los anos 1743-1748, Murcia, Universidad de Murcia, 1987. 89. Meyer Frédéric, Les nourrices des Bauges au XVIIIe siècle », Les Bauges entre lacs et Isère. Histoire et patrimoine, actes de la première rencontre sur l’histoire et le patrimoine du Massif des Bauges, 24-25 avril 2004, Chambéry, Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, 2004, p. 167-188. 90. Meynet Lydie, Bellevaux de 1730 à 1792 », mémoire de maîtrise sous la direction de A. Becchia, Université de Savoie, 2006, 219 p. + un vol. d’annexes. 91. Milleret René, Termignon, ses souffrances pendant les guerres 1535-1800 », exemplaire dactylographié, 82 p. Bc 2567. 92. Morand Laurent, Les Bauges. Histoire et documents, Chambéry, Imprimerie Savoisienne, 1891, réédition, Marseille, Laffitte Reprints, 1999, 3 vol. 93. Moris Henri, Opérations militaires dans les Alpes et les Apennins pendant la Guerre de Succession d’Autriche 1742-1748, Paris, L. Baudoin et Cie, 1886, 360 p. 94. Moris Henri, Mille sept cent quarante-cinq. Occupation espagnole. Emprisonnement de six délégués de la province de Savoie au château fort de Miolans, Imprimerie Savoisienne, 1891, 30 p. Fonds Justice RES- 3426. 95. Mouxy de Loche comte François, L’occupation espagnole de la Savoie de 1742 à 1749 », Roma, Macry, 1937, 22 p. Mémoires de l’Académie de Savoie, 1937, p. 225-244. 96. Mouxy de Loche comte François, Histoire d’Aix-les-Bains, Chambéry, Imprimerie Savoisienne, t. 1, 1898, 676 p. ; t. 2, 1900, 695 p. 97. Mugnier François, Chronologies pour les études historiques en Savoie, 1884. 98. Mugnier François, Communication … sur le mariage d’Espagnols à Chambéry 1745 », Mémoires et Documents publiés par la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. XXVII, 2ème série, t. II, 1888, p. XLVIII-L. 99. Mugnier François, Le théâtre en Savoie. Les vieux spectacles. Les comédiens de Mademoiselle et de S. A. R. le duc de Savoie. La comédie au collège. Les troupes modernes, Chambéry, Impr. Ménard, 1887, 304 p., extrait des Mémoires et Documents publiés par la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. XXVI, 2ème série, t. I, 1887, p. 1-304. 100. Mugnier François, Détail des troubles arrivés dans la ville de la Roche [sur-Foron] à l’arrivée des troupes espagnoles 1742-43, d’après une relation contemporaine », Mémoires et Documents publiés par la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, 2ème série, t. VIII, 1894, p. XXXI-XXXVI. 101. Nicolas Jean, L’émigration des Mauriennais en Espagne en 1767 », Actes du congrès des Sociétés savantes de la province de Savoie, Nouvelle série I, Moûtiers, 5-6 septembre 1964, ouvrage publié avec le concours du p. 72-85. 102. Nicolas Jean, La Savoie au XVIIIe siècle. Noblesse et bourgeoisie, inflexions au siècle des Lumières, Paris, Maloine, 1978, 2 vol., 1 272 p. ; réédition Montmélian, La Fontaine de Siloé, 2003, 1242 p. 103. Ougier-Simonin Pierre, Le prestige de l’uniforme ; naissances illégitimes en Tarentaise au XVIIIe siècle », La société savoyarde et la guerre. Huit siècles d’histoire XIIIe-XXe s., actes du XXXVIème congrès des Sociétés Savantes de la Savoie, Montmélian, 1996, textes réunis par C. Sorrel, Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. C, 1998, p. 168-179. 104. Pachoud Albert , A propos de l’attaque d’Apremont par les Espagnols en décembre 1742 », dans La société savoyarde et la guerre. Huit siècles d’histoire XIIIe-XXe s., actes du XXXVIème congrès des Sociétés Savantes de la Savoie, Montmélian, 1996, textes réunis par C. Sorrel, Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. CI , 1998, p. 181-187. 105. Palluel-Guillard André, L’administration communale de Chambéry au XVIIIe siècle, Mémoires et Documents publiés par la Société Savoisienne d’Histoire et Archéologie, tome 78, 1963, 142 p. 106. Pascal Adrien, Histoire de Saint-Pierre-de-Soucy, Librairie Dardel, Chambéry, 1926, 255 p. 107. Perpéchon Félix, Les nécrologes de Chambéry. Sainte-Marie l’Egyptienne, l’Hospice général de Charité, l’Hôtel-Dieu et les Incurables», Mémoires et documents publiés par la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. XXXIV, 1895, p. 251-421. 108. Pérouse Gabriel, Index des noms de lieux, de personnes et de matières des deux volumes publiés de la série C, Archives Départementales de Savoie, 1914-1915. 109. Perrin André, Communication sur des documents transmis par M. Baillieux concernant le juge corrier de la province de Maurienne, des testaments d’évêques de Maurienne et une requête au Roi d’Espagne sur l’Etat de la Savoie en 1745 », Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, 1864, p. X-XVIII. 110. Perrin Narcisse, Monographie historique, industrielle, agricole de Cluses, Société Florimontane d’Annecy, 1898, 822 p. 111. Pillet Louis, Un factum des Espagnols en Savoie 1743 », Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. X, 1866, p. 211-240. 112. Pillet Louis, Histoire du barreau de Chambéry », Mémoires de l’Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Savoie, 1895, p. 101-321. 113. Pissard Charles-Eugène, Guerre de la Succession d’Autriche. Extraits de délibérations du Conseil de la ville d’Annecy relatives à l’occupation espagnole », Annecy, 1887. 114. Plaisance Emile dit Pascalein, Histoire de la Tarentaise. Troisième partie les invasions en Tarentaise 1536-1792 », Mémoires et Documents de l’Académie de la Val-d’Isère, 1903, p. 1-158. 115. Plassiard Joseph Amédée, Montgirod. Notes d’Histoire », t. I, exempl. dactyl., 1979 Archives de Savoie et archives diocésaines deTarentaise. 116. Plassiard Joseph Amédée, Paroisse de la Côte d’Aime. Notes d’Histoire, 1978, 2 vol. dactylographiés BH 617 117. Poncet abbé J., Monographie de Marthod, Moûtiers, Imprimerie Cane soeurs, E. Garnet, 1896, 453 p. 118. Renevier Christiane, La vie municipale à Moûtiers dans la première moitié du XVIIIe siècle », Université de Grenoble, 1975, 135 p. 119. Revel Edouard, La Savoie et la domination espagnole. Guerre de Succession d’Autriche 1742-1749 », Mémoires de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, tome 62, Chambéry, 1925, p. 100-245. [tiré à part, Chambéry, M. Dardel, 1925, 151 p.] 120. Revol Coralie, Le soldat occupant en Savoie aux XVIIe et XVIIIe siècles », mémoire de master 1 sous la direction de F. Meyer, Université de Savoie, juin 2005, 207 p. 121. Rodriguez Don Antonio, Don Cenón de Somodevilla, Marqués de la Ensenada, Madrid, 1878. 122. Saint-Genis Victor Bénigne Flour de, Histoire de Savoie d’après les documents originaux depuis les origines les plus reculées jusqu’à l’annexion, Chambéry, Bonne, Conte-Grand et Cie, 1868-1869, 3 vol., t. III ; réédition Marseille, Laffite Reprints, 1978, 622 p. 123. Saint-Simon Maximilien Henri, marquis de, Histoire de la guerre des Alpes ou campagne de 1744 par les armées combinées d’Espagne et de France, commandées par l’infant don Philippe et le prince de Conti, où l’on a joint l’histoire de Coni depuis sa fondation en 1120 jusqu’à présent, Amsterdam, Rey, 1770 Médiathèque Rousseau, PER B 14333. 124. Salvá Jaime, El Marqués de la Ensenada ensayo biográfico, Madrid, Editorial Naval, [1942], 94 p. 125. Serand Eloi, Les gémissements des Savoyards sous la domination espagnole », Almanach des gloires de la Savoie, Librairie J. Philippe, 1868, 64 p. p. 39-42 126. Sirace Révérend de, Note sur le séjour des Espagnols à Saint- Baldolph », Mémoires de l’Académie de Savoie, 2ème série, vol. 1, 1851, p. XXXVII-XXXIX. 127. Sorrel Christian, dir., Histoire de Chambéry, coll. Univers de La France, Privat éditions, 1992, 328 p. 128. Sorrel Christian, dir., Histoire de la Savoie en images, Montmélian, La Fontaine de Siloé, 2006, 461 p. 129. Tapponnier Paul, Les Espagnols en Savoie 1742-1749. Un épisode de la guerre de Succession d’Autriche, Société d’Histoire et d’Archéologie de Maurienne, Annecy, L. Dépollier, 1942, 45 p. 130. Tavernier Hippolyte, Un mariage espagnol à Samoëns », Mémoires de la Société Savoisienne d’Histoire, t. XXXI, 1892, p. 166-167 et p. 214-219. 131. Tavernier Hippolyte, Histoire de Samoëns », Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. XXXI,1892, p. 1-291. 132. Townley Corinne, Luquet Jean, Chambre Benoît, Chambéry et les Chambériens, 1660-1792, Historic’one, 1999, 164 p. 133. Tracq Francis, Armée et vie quotidienne à Bessans au XVIIIe siècle », La société savoyarde et la guerre. Huit siècles d’histoire XIIIe-XXe s., actes du XXXVIème congrès des Sociétés Savantes de la Savoie, Montmélian, 1996, textes réunis par C. Sorrel, Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. C, 1998, p. 207-213. 134. Truchet abbé Saturnin, Notice historique sur la commune de Valloires », Travaux de la Société d’Histoire et d’Archéologie de la Maurienne, 1er Bulletin, 2ème édition, Saint-Jean-de-Maurienne, Impr. P. Vulliermet, 1878, p. 1-54. 135. Vicente Algueró Felipe J. de, El Marqués de la Mina, Capitán General de Cataluña 1742 y 1749-1767. El gobierno del Principado a mediados del siglo XVIII, tesis dirigida por Pedro Molas Ribalta, co-director Eduardo Escartín Sánchez, Tesi doctoral, Universitat de Barcelona, Facultat de Geografia i Història, 1986, 757 p. 136. Vioud Jean, Daniel Maurice, Communication sur François- Joseph de Conzié 1707-1789», Mémoires et Documents de la Société Savoisienne d’Histoire et d’Archéologie, t. LXXXI, 1967, p. 35-37. {backbutton} Lep?tit Fernand et la grande guerre, Lieu: Châtelaudren (dep.22), Du 06 au 08 Novembre 2018, évènement Spectacles - Concerts sur Cet évènement est Cet article date de plus de trois ans. Publié le 07/11/2018 1621 Mis à jour le 07/11/2018 1750 Durée de la vidéo 3 min. Article rédigé par Estelle Colin, en plateau, raconte le destin de Fernand, un soldat de la Grande Guerre revenu vivant, mais marqué à jamais par ce qu'il a vécu. Revenir du front complètement traumatisé. C'est une histoire de poilu qui est revenue à de nombreuses reprises dans les réponses à notre appel à témoignages sur les conséquences de la Grande Guerre. C'est plus particulièrement celle de Fernand, éprouvé par ce qu'il a vu pendant le conflit. D'Amiens à Belfort, il a participé à tous les combats. Au printemps 1914, Fernand a 30 ans et part à la guerre au lieu de se marier avec sa fiancée, Marthe. Il consigne sa vie sur un petit agenda. "Des mots dénués d'émotion, ça tient plus du compte-rendu que du récit", explique la journaliste Estelle Colin. En 1984, à 100 ans, il raconte en vidéo "Il y avait des bombardements de la part des Français et de la part des Allemands. C'était du feu, du feu partout. Finalement, je n'y ai rien compris". Il s'est bien marié avec Marthe, à son retour du front, comme prévu. "Mais son épouse n'a jamais retrouvé l'homme qu'elle avait connu avant-guerre", précise la journaliste. "Fernand ne manifestait plus ses sentiments, il était bien incapable de dire tout simplement je t'aime. Ses nuits étaient compliquées, des cris étouffés, des larmes qui coulaient ou des chants patriotiques entonnés en plein sommeil". Fernand était le grand-père de Martine Laroche-Joubert, journaliste et grand reporter de guerre à France 2 qui a couvert de nombreux conflits armés depuis 40 ans. "Lorsque j'entends des tirs et des bombardements, dit-elle, cela me semble familier, c'était mon destin, c'était le destin de mon grand-père". Spectaclechoral "Le p'tit Fernand et La Grande Guerre" par les élèves des collèges de Betton et La Mézière. Julien Baque 27; Durée : 01:17:22; Nombre de vues :

Fernand Burniaux parti de la région de Namur pour défendre son pays, il laissera les siens et notamment une petite fille qu'il ne connaitra qu'après-guerre - Collecte RTBF/collection Privée A. Minet © La terrible histoire d'un homme ordinaire. Si le récit de vie de Fernand Burniaux devait porter un titre de roman, il est probable que ce soit celui-là tant son histoire évoque jusqu'à la guerre un parcours de vie plutôt tranquille, on oserait presque écrire " banal ". Mais la guerre vient tout chambouler et surtout elle laisse des traces, des impacts durables sur les populations sans histoire et en particulier sur la vie de Fernand que nous a transmise son beau-petit-fils, André. Quand la guerre éclate, Fernand a 26 ans. Milicien de 1908, bien installé dans la commune de Surice avec son épouse Rosa, rien ne le prépare à faire la guerre. Il est bien loin de penser qu’il sera rappelé lors de la mobilisation générale fin juillet 14 et surtout que ce rappel se transformera en quatre longues années loin de chez lui, lui qu’une perspective de court éloignement fait déjà frémir. L'épouse de Fernand avait à coeur de lui envoyer des portraits de... Une lettre envoyée par la toute jeune Fernande, sur idée et dictée... L'écriture touchante de Fernande,petite fille qui apprend à peine... Fernand n'a eu de cesse de penser à son épouse et à sa fille Fernand a mis par écrit ses pensées sur la guerre. Cent ans plus... En 1918, Fernande était déjà une belle petite fille. Fernand ne... Fernand Survivre à la guerre pour rencontrer sa fille ! Courrier... Fernand Survivre à la guerre pour rencontrer sa fille ! L'Arbre généalogique simplifié de la famille Burniaux Des adieux déchirants C'est donc le coeur gros que les adieux se font à la gare de Romedenne, à coté de Surice. Fernand prend congé de son épouse Rosa - qui attend leur premier enfant - le 1er août 1914. “Quitter sa chère femme après une période de trois années passées dans un vrai bonheur et envisager la guerre, c'est dur! Enfin, je m'arrache de ses bras, et étouffant avec peine mes larmes, sans même pouvoir lui dire adieu je pars”. Quelques jours plus tard, il est à Bruxelles quand l’annonce de la guerre se fait officielle. Cette nouvelle est accueillie aux cris de “Vive le Roi! A Mort les Boches!” mais Fernand, lui, voit s’envoler l’espoir d’une absence temporaire de son foyer et il pense à Rosa qui devra poursuivre sa grossesse seule dans un pays en guerre “Finis les rêves de retour! Je revois en mon esprit bouleversé ma bonne Rosa et toute ma famille que j'ai à peine eu le temps de revoir avant mon départ à l'annonce de cette cruelle nouvelle”. C'est donc le coeur gros que les adieux se font à la gare de Romedenne, à côté de Surice. Fernand prend congé de son épouse Rosa - qui attend leur premier enfant - le 1er août 1914. Un dur apprentissage Fernand est versé dans une compagnie de brigadiers cyclistes. Cela lui donne l’opportunité de bouger, mais également d’être un fin observateur du paysage et des hommes qui l’entourent. Ainsi, il décrit son environnement et les gens qu’il rencontre de façon très précise ce qui fait de son journal un témoignage extrêmement intéressant. Bien que conscient de l’importance de son devoir, Fernand n’est pas un va-t’-en-guerre. Il est même assez critique vis-à-vis des autorités militaires et des politiques mais aussi des Allemands. Le 11 août 14, il écrit "Je maudis de toute mon âme la guerre et surtout ceux qui nous l'ont imposée". Il n’a pas encore fait l’expérience du feu. Celle-ci viendra quelques jours plus tard, le 15 août 14, il écrit “C'est terrible! Pour la première vision de bataille, je crois que jamais je ne l'oublierai”. Mais il a également une motivation alimentée par les informations qui lui sont parvenues concernant son village, incendié au début des hostilités. Ces scènes de bataille, Fernand aura malheureusement à les revivre à plusieurs reprises mais il sera également témoin des atrocités visant les civils comme ce 25 août 14 où il décrit "L'entrée du village d'Hofstade, un spectacle écoeurant se présente à mes yeux je vois sur la route une femme âgée d'au moins septante ans traversée de part en part par la baïonnette d'un de ces damnés. La pauvre vieille tient encore à la main une aiguille et un bas qu'elle était occupée à réparer". Fernand est nommé caporal et cité à l’ordre du jour pour s’être distingué à la bataille de Molen. Ces scènes d’horreur et de combat sont entrecoupées par une grande nouvelle pour Fernand il est papa! Mais un papa qui, à cause de la guerre, n’a pas le droit de voir son enfant ni de féliciter son épouse. La joie l’inonde mais également la souffrance d’être loin de son épouse en cet instant important et de ne pas pouvoir faire connaissance avec sa fille, prénommée Fernande en son honneur. Bien que conscient de l’importance de son devoir, Fernand n’est pas un va-t’-en-guerre. Il est même assez critique vis-à-vis des autorités militaires et des politiques mais aussi des Allemands. Le 11 août 14, il écrit "Je maudis de toute mon âme la guerre et surtout ceux qui nous l'ont imposée". Les copains comme soutien Pour tenir le coup et trouver la force de retrouver les siens, Fernand peut compter sur la camaraderie de ses compagnons d’armes et spécialement de ceux qui sont, comme lui, de la région de Surice. Il évoque souvent dans ses récits ses amis avec lesquels il partage un moment de pause ou de marche. Les conditions de campagne auxquelles est confronté Fernand sont difficiles. Les conditions matérielles, le manque de confort des endroits dans lesquels il cantonne bien sûr mais pas uniquement Rosa lui manque terriblement. Le 1er décembre 17 alors que le froid sévit dehors et qu'il est confronté à une déprimante solitude, il se confie "Ma pensée va souvent, là-bas, près de ma chère femme. Où est-il donc le bon temps, où les soirées d'hiver se passaient à jouer aux cartes au coin d'un bon feu, ou faire de la musique avec les amis? Et puis une angoissante pensée m'étreint a-t-elle le chauffage nécessaire ma pauvre Rosa?“...”Ah! Vivement la fin de ce terrible cauchemar!!! Plutôt mourir de travail que cette vie de langueur et de fainéant. Les jours me semblent des mois et les mois des années". Le 29 décembre de la même année,aprés plusieurs jours de marche qu'il supporte difficilement "si c'est cela un repos, qu'on nous envoie au front!", son moral n'est pas arrangé "Nous avons pour notre fin d'année un jour sans pain et sans viande”. Le lendemain cependant, un de ses amis lui demande d'être témoin de son union prochaine ce qui a pour conséquence de mettre un brin de soleil dans cet univers qui lui semble si morne. Au fil des pages, on sent Fernand de plus en plus amer et découragé mais l’offensive finale va se charger de lui trouver une nouvelle source d’espoir et de concentration. Un guerre sans fin L'année 1918 s'ouvre pour Fernand sur sur une interrogation déchirante, en proie à la déprime de passer les fêtes censées célébrer la nouvelle année, loin de chez lui “Qui aurait jamais osé croire que nous serions encore en guerre à cette date, lorsque nous sommes partis? Voici la quatrième fois que ce jour nous remplit actuellement d'amers souvenirs et jadis si beau jour de fête familiale. C'est la quatrième fois que nous le passons loin de ceux qui sont si chers et privé de la moindre nouvelle les concernant, c'est amèrement triste!!!" Fernand est évidemment loin de savoir que ce sera la dernière année de cette "Grande Guerre". Cette année sera pourtant également marquée par des petites joies le 15 janvier, il demande une dérogation de congé pour assister au mariage de son neveu, Lucien. Quelques jours plus tard, il arrive à Paris où Lucien le rejoint. Ensemble, ils se rendent dans le village où Lucien a été réfugié de guerre au début du conflit et où il doit épouser sa fiancée. Il passe quelques jours en leur compagnie entre visites dans le pays et cérémonies et rentre le 5 février 1918 au front "avec un formidable cafard". Il faut dire que pendant tout ce temps, il est sans nouvelle de Rosa et de Fernande ce qui l'affecte profondément. Le 6 mars 1918, il est témoin de violents bombardements. Des membres de sa compagnie sont touchés et Fernand en sera profondément choqué. Paradoxalement, cette journée terrible sera également le jour où Fernand recevra une carte de sa Rosa "après trois ans sans nouvelles directes" et l'objet d'un grand bonheur, joint à un immense soulagement pour Fernand. La mort et l'amour, ensemble sur le front. Le lendemain, alors que l'on compte les pertes, les prises de positions et de prisonniers, il reçoit une photo de Rosa et de la petite Fernande. Mais la guerre continue comme si elle ne devait jamais cesser. De fait, Fernand pense que la paix n'est pas pour bientôt et il note le 15 mars "Je ne m'étonnerais pas si nous sommes encore ici l'année prochaine à pareille date "… Il est conscient de la difficulté que représenterait le fait de se battre sans les alliés anglais et américains. Il est également le témoin d'une scène qui illustre bien les sentiments envers les Allemands qui pouvaient prévaloir sur le front. Le 15 mai 1918, il écrit “Dans le courant de l'après-midi, deux de nos ballons sont incendiés par l'ennemi. Un peu plus tard, un troisième ballon est manqué et l'aviateur boche est atteint par les "scrapnells" de nos artilleurs. Il est obligé d'atterrir et vient s'abîmer dans le toit d'une maison où il reste perché comme un pigeon à l'entrée de son colombier. Belges, Français et Anglais s'élancent pour cueillir l'aviateur qui, immobilisé dans sa nacelle, attend avec une angoisse visible le sort qui décidera de sa personne. Belges et Français poussés par la haine pour tout ce qui est boche veulent lui "arranger son affaire" mais en sont empêchés par les officiers anglais qui parviennent non sans peine à embarquer l'aviateur dans une auto et l'évacuer sur l'arrière". Il évoque également la situation en pays occupé pour lequel il a la plus grande inquiétude. Il parle de "révolte de la faim" à Bruxelles mais sans beaucoup plus de détails car la censure guette. Au printemps de la même année, les troupes autour de Fernand sont également touchées par des fièvres et évacuées vers les hôpitaux. S'agit-il de la grippe espagnole? Nul ne sait! Le 31 mai 18, il écrit sa lassitude "Rester constamment sous la gueule des canons et attendre si le prochain obus sera ou non pour vous. Ce n'est pas gai! Et voilà 5 jours que cela dure!Je préférerais de beaucoup être en première ligne ..." Fernand développe aussi du ressentiment face à certaines injustices dont il est le témoin sur le front. L'armée a besoin de tous les bras disponibles et certains soldats blessés sont renvoyés plutôt hâtivement au front "Il me semble que c'est là une triste manière de récompenser les braves qui donnent leur sang et surtout très peu encourageant pour ceux qui sont tenté de regarder un peu en arrière, même pour ceux qui se dévouent”. Au fil des pages, on sent Fernand de plus en plus amer et découragé mais l’offensive finale va se charger de lui trouver une nouvelle source d’espoir et de concentration. Son écriture se fait plus rare. On le devine en train de se battre, n’ayant plus de temps ou d’endroit pour poser ses pensées sur le papier. Sans doute, pense-t-il toujours autant à sa famille mais ses souvenirs, Fernand les emportera avec lui au plein coeur des batailles… L'Armistice un nouvel espoir Enfin, vient le temps de la paix. Fernand, qui ne savait plus si il devait y croire pour de bon ou non, est témoin de l’incroyable élan de joie qui emporte les hommes “Alors tout le monde donne libre cours à sa joie qui retenue depuis longtemps par le doute éclate; enfin, on s'embrasse, on se serre les mains, on chante, on crie. Ah! Quel beau jour! Malgré la pluie qui ne cesse de tomber. Quel bonheur de pouvoir enfin revoir ses chers parents et son cher patelin sauvé aussi d'une inévitable destruction”. Immédiatement après, ses pensées sont pour Rosa "Oh! Ma chère femme, si tu savais si tu pouvais me voir bien vivant et n'attendant plus maintenant que le beau jour de te serrer dans mes bras, que tu serais heureuse! Mais malheureusement l'incertitude te fait cruellement souffrir!... Et cependant, il m'est impossible de te prévenir, de te crier, patience, dans peu de temps, tu reverras ton cher Fernand, qui maintenant n'attend plus que la délivrance”. Le soir, Fernand fête la fin de la guerre avec une petite sortie à Eekloo. Il sera décoré et mis à l'honneur pour sa participation entière et dévouée à la Grande Guerre notamment de l’ordre de la médaille de l’Yser. Une lettre déchirante Cela fait maintenant trois ans que Fernande est née. Son père n’a toujours pas pu faire connaissance avec elle. Au cours de l’année 1918, Fernand a reçu une lettre émouvante de sa fille, une lettre encore empreinte de l'écriture malhabile de l'enfance et qui lui rappelle le temps qui est passé depuis sa naissance "Mon petit papa, maman est triste parce que nous ne recevons pas de lettre de toi. Moi je veux t'écrire pour te montrer ce que je sais faire. Moman sic dit que je suis maladroite et toi papa que penses tu ? Je voudrais bien que tu serais de maman et de marraine. Ta petite fille qui t'aime beaucoup. Fernande Burniaux". Fernand rencontrera enfin sa fille,pour la première fois, le 27 décembre 1918 à la suite d’un trajet en train qui le fera revenir en Belgique enfin libérée. Il retrouvera également non sans émotion son épouse, Rosa et ensemble ils auront une deuxième fille après la guerre. Rattrapant le temps perdu, il profitera de sa famille, triste pour les camarades qu’il laissa derrière lui mais heureux d’avoir pu être un maillon dans la chaîne de la paix. Une vie heureuse après-guerre Fernande deviendra religieuse, sa soeur, se mariera et aura des enfants et des petits-enfants. Fernand sera décoré et mis à l'honneur pour sa participation entière à la Grande Guerre. La famille restera unie et Fernand quittera ce monde entouré des siens à Surice en 1960. Pour ce qui est des relations familiales, le journal de Fernand Burniaux est un témoin émouvant de ce qu'a pu être la vie des hommes loin de leurs épouses et leurs sentiments par rapport à leur vie de famille. On ressent en effet chez Fernand une profonde émotion quand il évoque sa femme et de sa petite fille et ce même si la vie quotidienne des couples étaient en ce début de XXe siècle empreint d'un certain traditionalisme. Son témoignage est donc un trésor à conserver précieusement et dont Monsieur Minet, dont l'épouse est la petit-fille de Fernand que nous remercions ici, peut être fier.

Lesartistes dans la Grande Guerre; Journaux des unités engagées dans la Première Guerre mondiale; Historiques régimentaires des unités engagées dans la 1re Guerre mondiale; Armées Françaises dans la Grande Guerre (AFGG) Clemenceau, ministre de la Guerre et président du Conseil; Seconde Guerre mondiale. Militaires décédés au cours . 109 407 98 484 464 370 19 493

le petit fernand et la grande guerre