Toutce Blabla pour enfin hurler JE PARS EN VACANCES PUTAIN ! 8D Après 2 mois de vie citadine à rester cloîtrée chez mon p'tit domicile Je me fais la malle au Pays des Moules-Frites (rien que d'y penser j'en bave déjà :D) Bref je vais effectuer mon pélerinage breton annuel *Me gaver de cidre, *aller aux Festoù-Noz. *Me joindre aux bigoudènes * Danser la pastourelle

J’ai voyagé le plus que j’ai pu. Je suis beaucoup allée dans les pays anglo-saxons, surtout aux Etats-Unis. J’y ai travaillé, fait de multiples petits boulots » que je n’aurai pas pu faire en France et qui m’ont beaucoup apportés. Les petits boulots sont formateurs. J’ai été deux fois jeune fille au-pair. J’y ai étudié aussi, la littérature et l’histoire en plein milieu de l’Arkansas, à Hendrix College. Période riche en enseignements et en différences culturelles. Je voulais parfaitement maitriser l’anglais. J’ai aussi appris l’espagnol plus tard au Mexique lors d’un stage de 3 mois dans les bijoux à Taxco au beau milieu des mines d’argent. A ce moment là, je voulais travailler dans les bijoux et l’horlogerie, perpétrer la tradition familiale. Mais le destin dévia ma route de cette trajectoire. Plus tard j’ai appris l’italien et aujourd’hui c’est un nouveau défi linguistique avec l’apprentissage du japonais à Brest avec mon fils Soig. Il est passionné par le Japon. Son rêve est d’y aller. Rêver et réaliser ses rêves est important. C’est d’ailleurs un de mes buts dans la vie. Ensuite j’ai étudié le commerce international et travaillé dans des services export à Paris. J’y ai vécu avec mon conjoint pendant 5 ans. PME et Multinationales, à des postes plutôt administratif et commercial. Dans des bureaux enfermés à Clichy, Argenteuil et La Défense. Je voyageais au téléphone. J’aimais ce que je faisais mais je n’étais pas passionnée par les produits que je vendais. Systèmes d’ingénierie et additifs alimentaires, que j’expédiais aux 4 coins du monde. Quand je suis arrivée en Bretagne, dans le Finistère il y a 12 ans, suite à une mutation de mon conjoint, j’ai décidé de me former à un produit, à des produits qui me passionneraient obligatoirement. Ce fut les produits de la mer à la CCI de Lorient. En y réfléchissant bien, si j’avais vécu dans le sud ouest, je me serai formée à des produits tel que le vin ou le foie gras, ou dans l’est de la France au champagne… j’aurai voulu en savoir plus sur des produits authentiques, vrais, qui ont un savoir-faire, une histoire passionnants. Les personnes qui fabriquent ce genre de produits ne sont pas là par hasard, l’envie les a guidés pour la plupart. C’est à partir de ce moment là que ma métamorphose s’est opérée. Tout ce qui se fabriquait me passionnait et je souhaitais en apprendre au maximum. Sur la fabrication des produits et sur le monde de l’entreprise. C’était important de faire un métier qui m’épanouisse et dans lequel j’apprends tous les jours. J’ai rencontré des métiers difficiles où il faut plutôt être dur au mal pour être capable de se lever tous les matins et s’atteler à la tâche. Cela m’a donné une autre vision du monde et du travail. Je n’étais plus dans mon bureau à la Défense à regarder mon ordinateur. Je n’avais plus un point de vue unique et une vision étriquée, celui du service commercial. A Loctudy, j’ai travaillé dans un Vivier où je vendais des crustacés, des poissons et où je faisais tous les services comptabilité, gestion, qualité, vente. Ensuite, j’ai tenu une boutique de conserves de la mer à Pont l’Abbé, les meilleurs produits. Je mettais les produits en valeur et j’en parlais avec passion. A partir de là, je ne pouvais plus que faire un travail qui me passionnait. En parallèle je me suis formée à la photographie car j’adore le monde de l’image et de la communication, c’est ce qui m’intéresse le plus dans une entreprise le marketing, le merchandising et la communication au sens large. Et je commençais à me dire que mon prochain métier serait en lien avec l’image et la créativité et les bons, beaux produits mais je ne savais pas trop quoi, quand et où. Quand on a décidé de déménager à Brest début 2016, mon projet s’est mis en place peu à peu et c’était ça. C’était évident, je voulais communiquer par l’image sur les réseaux sociaux pour les entreprises et prendre des photos de leurs produits. Etre photographe et community manager, me former constamment aux deux. Et aussi prendre des femmes enceintes, des enfants… Famille et entreprise parce que les deux approches sont essentielles. Elles sont aussi les deux facettes d’un individu. Deux mondes différents, deux rencontres différentes qui paraissent opposés mais qui sont en réalité complémentaires. Voilà mon histoire jusqu’à présent. Loïse Post Scriptum Un jour, j’ai interviewé une artiste peintre, Marie Girard, qui a réalisé la boite de sardine noire millésime 2016 de l’entreprise Furic, que vous pouvez voir dans photos de produits et elle m’a dit on travaille tous les jours pour devenir ce que l’on a envie d’être » C’est toujours ce que j’ai pensé. Je me suis dit à ce moment là qu’il fallait que je fasse un métier qui me colle à la peau, qui soit entièrement moi et c’est ce que j’avais toujours cherché finalement en multipliant les expériences. En faisant de plus en plus, ce qui était moi. Si la société, la famille, le travail nous éloigne de ce qu’on est réellement et c’est souvent le cas d’ailleurs, le destin peut nous rattraper. Et c’est ce qui m’est arrivé. Quand on est créatif et qu’on ne fait pas un métier créatif, on meurt à petit feu, la créativité et notre travail c’est ce qui nous motive tous les jours et nous maintient en vie. C’est notre moteur. Lhôtel étant récent, c'est très propre et le mobilier est contemporain. A peine arrivé, on aurait pu profiter de l'espace marin mais après un sms du cousin, l'appel des Kouigns Bigoudènes de mamie et des retrouvailles entre cousins a été plus fort et on a filé vers Penmarc'h pour un fameux goûter! Sœur Pauline, née Anne-Marie Guiomar le 24 mars 1875 à Plouëc Côtes-du-Nord et morte le 16 juillet 1971 à Guilvinec Finistère, est une religieuse et enseignante française. À son entrée dans la congrégation des Filles du Saint-Esprit, elle prend le nom de Sœur Pauline. Elle est connue dans le pays bigouden pour avoir popularisé la pratique de la dentelle dite "picot" au début du XXe siècle dans les ports de pêche du littoral bigouden, afin de faire face à la grave crise de la sardine que traversaient ces endroits. Biographie Jeunesse Anne-Marie Guiomar est née le 24 mars 1875 dans le village de Plouëc, dans les Côtes-du-Nord, dans une famille de 17 enfants. Elle décide de se consacrer à la vie religieuse en intégrant la congrégation des Filles du Saint-Esprit, à Saint-Brieuc. Elle prononce donc le vœu de vivre au sein du peuple, pour le service de Dieu, des pauvres, des malades et des enfants, dans les campagnes. Elle passe et obtient avec succès le brevet élémentaire à Rennes en 1897, fait rare à l'époque. Arrivée à Guilvinec et développement d'un artisanat local La congrégation des Filles du Saint-Esprit est appelée à Guilvinec par le recteur de la récente paroisse, l'abbé Jean-Baptiste Coataudon, ainsi que par le préfet du Finistère Victor Proudhon dès 1894 pour soigner les malades du choléra, épidémie faisant 32 morts cette même année. Sœur Pauline y arrive le 27 août 1897, et y fonde une école religieuse de filles, Sainte-Anne, du nom de la toute jeune église paroissiale, et que l'on appelle alors fréquemment un asile, ancien nom donné aux écoles maternelles. À la première rentrée de septembre 1897, l'école primaire accueille 130 élèves, et l'école maternelle, 150[1]. La loi sur les congrégations religieuses du 1er juillet 1901 contraint Sœur Pauline à l'exil en Belgique pour quelques mois[2], mais elle revient vite à Guilvinec et y reste pour faire face à la grave crise de la sardine que connait le port en 1902-1903. Conséquence de cette crise vers 1903, Sœur Pauline introduisit le point d'Irlande au Guilvinec. Toutes les familles se mirent à faire du picot, même les enfants, pour gagner un peu d'argent. Des mètres de dentelle collectés par des ateliers furent vendus à des magasins parisiens. Un artisanat bigouden était né. » — Pierre-Jean Berrou[3] Aux dires d'Annick Fleitour, Sœur Pauline est aidée en cela par Mesdames Delécluze, d'Audierne, et Chauvel, de Quimper, épouse du futur maire de Combrit Fernand Chauvel. C'est cette dernière qui ouvre un magasin rue de Vaugirard à Paris[4]. En parallèle, une autre religieuse, sœur Suzanne Vidélo, dirige un autre atelier de broderie à l'Île Tudy, entre 1905 et 1966[5]. Des deux ateliers bigoudens, lequel ouvrit le premier ? Guilvinec ? l'île Tudy ? L'examen des archives ne permet pas de trancher[6]. » [n 1] La loi sur les congrégations du gouvernement Emile Combes Cette crise économique se double des tensions non éteintes liées à l'application par le gouvernement d'Émile Combes de la loi sur les congrégations. Au mois de juillet 1902, la communauté du Guilvinec vécut dans l'angoisse de l'arrivée des autorités. Des parents d'élèves assuraient la garde, prêts à rameuter la population. Le 8 août, deux commissaires accompagnés de gendarmes et de la troupe se présentèrent tôt le matin devant l'école. La cloche battit aussitôt le rappel. Des femmes sans coiffe, les cheveux en désordre, accoururent de partout, conspuèrent les commissaires et crièrent "Vive les sœurs ! ". Après l'inventaire des meubles, les scellés furent apposés sur la porte d'entrée mais arrachés par des "inconnus". Les sœurs acceptèrent de céder à la force, quittèrent l'école et se réfugièrent dans des familles où elles continuèrent d'enseigner à une poignée d'enfants. » — Pierre-Jean Berrou Son enseignement Ecole Sainte-Anne de Guilvinec, construite au début du XXe siècle Conformément aux vœux de sa congrégation, l'enseignement fait partie des missions de Sœur Pauline, tâche à laquelle elle s'attache avec force humilité et dévouement, à l'école maternelle Saint-Anne, construite dans la première décennie du XXe siècle. Aux dires de Georges Tanneau, un de ses élèves, Sœur Pauline avait le don de rendre vivantes les leçons de catéchisme en refaisant l'histoire sainte à la mode bigoudène[6]. » Tombe de Soeur Pauline près du monument aux morts, cimetière de Guilvinec Le petit Jésus était parti à Léchiagat en sandales... Saint Pierre disait on est allé au large des Etocs[n 2] mais on n'a rien pêché... » — Sœur Pauline La reconnaissance En 1956, l'ancien ministre de la Santé publique et de la Population du gouvernement Pierre Mendès France et maire de Quimper, André Monteil, lui remet les insignes de chevalier dans l'Ordre de la Santé publique, en présence de Jean Lautrédou, maire de Pont-l'Abbé, à la suite du décret du 21 juin 1956. En 1964, à 85 ans, elle enseigne toujours en maternelle, à sa quatrième génération d'élèves. Retraite De 1968 à 1971, elle est en retraite à Auray, dans la maison des filles du Saint-Esprit de Ker-Anna. Elle décide en 1971 de revenir à Guilvinec pour y finir sa vie, et décède le 16 juillet de cette même année, dans sa quatre-vingt-dix-septième année. Elle est inhumée au cimetière de Guilvinec, face au mur des Péris en mer[6]. Distinctions et hommages Plaque de la rue sœur Pauline Guilvinec Chevalier dans Ordre de la Santé publique, en 1956 France Une rue de la ville de Guilvinec porte son nom[n 3], à proximité de l'école Sainte-Anne dans laquelle elle œuvra longtemps. Bibliographie Jean-Louis Grognet, Sœur Pauline sauve Le Guilvinec, éditions Lulu, 2012, 88 p. Collectif, De la crise de la sardine à l'âge d'or de la dentelle, collection Mémoires, éditions Ouest-France, 2003, p. 111. Françoise Boiteux-Colin, Françoise Le Bris-Aubé, Michel Thersiquel, le Monde des Bigoudènes, éditions Le Télégramme, 1999, p. 25 26. Pierre-Jean Berrou, BM n° 14, 120 ans d’Histoire du Guilvinec, 1999. Roland Chatain, La pêche bigoudène, histoire et évolution, collection Mémoires, éditions Roland Chatain, 1994, p. 103 et 104. Corentin Daniel, Michel Le Roy, Bigoudenned, un siècle de bigoudènes, éditions Centre des loisirs et de la culture, Guilvinec, 1990, p. 12. Collectif, Centenaire de la paroisse du Guilvinec, éditions imprimerie du Marin, 1982, 64 p. Jakez Cornou, Pierre-Roland Giot, Origine et histoire des Bigoudens, Guilvinec, Éditions Le Signor, 1977, p. 377. Notes ↑ L'ouvrage Bigoudenned, un siècle de bigoudènes, de Corentin Daniel et Michel Le Roy, présente en page 12 une photographie ainsi légendée Fillettes faisant du picot, artisanat introduit au Pays Bigouden par Sœur Pauline, vers 1905. » ↑ Rochers au large de Kérity, qui peuvent se découvrir à marée basse et lieu de pêche à pied connu des autochtones. ↑ Quelques années après son décès, la municipalité du Guilvinec a voulu rebatiser sic la rue Jeanne d'Arc anciennement rue de l'Asile et la nommer rue Sœur Pauline, car c'est dans cette rue que trouve sic l'école Sainte-Anne où s'était installé en 1903 le premier ouvroir, dirigé par cette religieuse pour l'apprentissage du picot. Les riverains de la rue Jeanne d'Arc ont alors fait une pétition qui a abouti au refus du changement de nom de cette rue. » Georges Tanneau, sur le site Références ↑ Robert Baud, Les cent ans d'un établissement scolaire bigouden l'école Saint-Gabriel-Notre-Dame des Carmes, 1894-1994, Édition Pont-L'Abbé Saint-Gabriel-Notre-Dame des Carmes , 1995, p. 250. ↑ site officiel des Filles du Saint-Esprit[2] ↑ 120 d'histoire du Guilvinec, 1999, p. 12. ↑ Histoire du pays Bigouden avec Serge Duigou, Jean-Michel Le Boulanger, Annick Fleitour, Éditions Palantines, 2002, p. 147. ↑ site de la mairie[3] ↑ a b et c Françoise Boiteux-Colin, Françoise Le Bris-Aubé, Michel Thersiquel, le Monde des Bigoudènes, éditions Le Télégramme, 1999, p. 25. Liens externes Site consacré à Sœur Pauline [4] Biographie de Sœur Pauline sur le site de l'institut culturel de Bretagne[5]
\n \n 3 bigoudènes sont parties prendre le car
Figureemblématique des émissions culinaires sur France 3, la pétillante Julie Andrieu a consacré deux de ses « Carnets » aux richesses du terroir bourbonnais. Au menu : Vichy, Charroux, Noyant-d’Allier et bien d'autres Au fil de ses parcours, Julie prend le temps de goûter quelques Découvrir; Tous les restaurants. Découvrir
Caroline Fourest, la pasionaria LGBT, a encore frappé ! Contre quoi, je vous prie ? Sa religieuse bête noire, évidemment ! Pas celle qui, à l’instar de Rimbaud avec ses rimes, égrène des cadavres çà et là dans le monde au nom d’Allah, mais bel et bien le catholicisme et ses sournoises manifestations ! Ainsi, au soir de la victoire de François Fillon au second tour de la primaire de la droite et du centre, sa porte-parole, Valérie Boyer, a commis le crime de lèse-laïcité en arborant sur le plateau de France 2 une grosse croix autour du cou », expliquent Les Inrockuptibles. Je laisse le soin à chacun d’observer la taille de ladite croix – bien modeste en vérité – pour constater à quel point il n’y a pas de quoi effrayer un vampire ! Aussitôt constaté l’outrage aux bonnes mœurs christianophobes, Caroline Fourest s’est donc emparée de sa prose – laquelle mériterait un peu de repos au vu de sa fatigue ! – pour tweeter Le retour des signes religieux ostensibles, c’est maintenant… » Parce que le niqab, le burkini, la barbe plus longue que celle du regrettable Fidel Castro, c’est sans doute moins attentatoire à la pudeur laïque qu’une croix. C’est du folklore, un peu comme les coiffes des Bigoudènes ! Après avoir quitté le plateau de France 2, Valérie Boyer s’est alors expliquée, déclarant qu’elle ne retirait jamais sa croix, ajoutant avec raison Ce n’est pas un symbole d’oppression, bien au contraire… » Cependant, l’ incident majeur » a tellement affolé les réseaux sociaux que l’objet incriminé avait miraculeusement disparu lorsque sa propriétaire est intervenue plus tard sur BFM TV. Ce renoncement, Valérie Boyer n’aurait pas dû l’accepter car, pour autant que je refuse d’infliger mes convictions religieuses à quiconque ne les partage pas, je ne considère effectivement pas ce symbole comme l’expression d’une menace pour la République laïque. Aussi, la seule croix dont je veuille bien me débarrasser loge en ce moment à l’Élysée ! Ce non-événement montre combien l’opinion publique est tyrannisée par les dévots de l’anticléricalisme, dont la véhémence a justement précipité nombre de chrétiens dans les bras de François Fillon. Usés, sans doute, par des décennies d’humiliations, les catholiques - n’en déplaise à miss LGBT - ont, en effet, décidé de reprendre leur destin en main. Et même si je ne vois pas forcément ce destin avec François Fillon, ce dernier a eu au moins le mérite de ne pas cacher ses convictions religieuses sous le tapis pour séduire l’électorat. Ce qui est déjà une faute en soi pour ces Émile Combes acharnés. Alors, exhiber une croix à la télévision, imaginez la provocation ! Ce charivari provoqué par un petit bout de métal anodin montre, une fois de plus, que la gauche, dans son ensemble, ne veut pas le bien de notre pays puisqu’elle ne veut pas de son Histoire, laquelle est tout de même très chrétienne ! Enfin, il faut être bien ignorant pour invectiver la croix et laisser prospérer le croissant !
SeptBigoudènes s'y sont rendues en coiffes. Et en car, mar plij ! Et même en car Le Coeur, les cars bigoudens par excellence. Pour l'occasion, A deux pas du centre Beaubourg, dans une petite rue pavée, l’Anticafé ne saute pas d’emblée aux yeux du promeneur. Avec sa façade en pierre blanchie percée de larges baies vitrées, ses tables de bois brut et de ferraille, le lieu s’inscrit parfaitement dans l’ambiance bistro-branché-néo-bobo-façon-Brooklyn du IIIème arrondissement parisien. Leonid Goncharov, ukrainien de 24 ans et propriétaire du lieu préfère cependant prévenir La suite après la publicité J’ai choisi le nom d’Anticafé car nous sommes à l’opposé des cafés traditionnels. » Payer à l’heure, manger à volonté A mi-chemin entre l’espace de co-working et le salon de thé, l’Anticafé se distingue par son modèle économique, inédit en France jusqu’à l’ouverture du lieu en avril 2013. Ici, on ne paye pas les produits consommés mais le temps passé à table. 4 euros la première heure puis 3 euros les suivantes, ou 14 euros la journée. Boissons chaudes et pâtisseries sont à volonté. Leonid assure que l’Anticafé s’adresse à tout le monde mais à l’intérieur, la clientèle est uniforme surtout des jeunes créateurs d’entreprises dans le secteur des nouvelles technologies, courbés sur leurs ordinateurs ou accrochés à leurs smartphones. Pas de musique ni de télévision en fond, l’ambiance est studieuse. Certains, comme Alexandre, en ont même fait leur bureau permanent. Toutes les semaines, des professionnels viennent aider les futurs chefs d’entreprise à concrétiser leurs projets. Une expert-comptable attend dans un coin de la salle que des curieux viennent solliciter son expertise. Son après-midi sera plus que tranquille, mais elle assure que c’est inhabituel. Plus rares, d’autres viennent profiter des jeux de société mis gratuitement à disposition des clients, ou simplement déguster muffins et autres jus de fruits suite après la publicité Les profiteurs ? On leur dit bon appétit » Né en Russie, le principe de l’Anticafé surprend dans le IIIème arrondissement, le tarif de 4 euros s’approche plus du prix du cappuccino, que l’on doit payer avant même d’y avoir trempé les lèvres, que d’une heure de consommation à volonté. De fait, on pourrait penser que le lieu attire tous les petits malins du quartier, se jouant du principe de l’Anticafé pour se gaver de boissons et de pâtisseries en une heure, montre en main. Leonid Goncharov préfère mettre en avant l’esprit communautaire » du lieu, où chacun consomme selon ses besoins, sans excès. Et quand bien même certains seraient tentés d’abuser, les autres clients rétablissent l’équilibre. Rivés sur leurs écrans, beaucoup oublient d’aller se servir. Thomas explique En partant, je me rends parfois compte que je n’ai rien consommé. Quand on vient pour travailler, on est parfois happés par la tâche et les heures s’enchaînent sans qu’on bouge de sa chaise. » A voir la mine satisfaite du propriétaire quand on lui demande s’il est rentable, à peine un an après l’ouverture, on sent qu’il y trouve son compte. Un deuxième Anticafé devrait d’ailleurs ouvrir ses portes dans les prochains mois. Mathieu Cantorné
ParOgboni guérisseur, le 04.08.2021 mon chien s'appelle azor azor c'est mon trésor pourq uoi ce p'tit mignon ne porte-t-il pas de lorgnons ? q Par Anonyme, le 07.04.2019 la contine que je chantais a ma de sa mèreon y remet les piles cet après midi !!! Par Anonyme, le 30.12.2018
En savoir plus Alexia, Marie-Jeanne et Isabelle sont bigoudènes. Elles portent encore la fameuse coiffe bretonne et en sont fières. Témoignages. Un reportage de Charlotte Bienaimé Réalisation Peiré Legras Références L'équipe Sonia Kronlund Sonia Kronlund Accueil France Culture Podcasts Les Pieds sur terre Bretagne 3 Fière d'être bigoudènes Choisir une locale France Bleu Alsace France Bleu Armorique France Bleu Auxerre France Bleu Azur France Bleu Béarn Bigorre France Bleu Belfort-Montbéliard France Bleu Berry France Bleu Besançon France Bleu Bourgogne France Bleu Breizh Izel France Bleu Champagne-Ardenne France Bleu Cotentin France Bleu Creuse France Bleu Drôme Ardèche France Bleu Elsass France Bleu Gard Lozère France Bleu Gascogne France Bleu Gironde France Bleu Hérault France Bleu Isère France Bleu La Rochelle France Bleu Limousin France Bleu Loire Océan France Bleu Lorraine Nord France Bleu Maine France Bleu Mayenne France Bleu Nord France Bleu Normandie Calvados - Orne France Bleu Normandie Seine-Maritime - Eure France Bleu Occitanie France Bleu Orléans France Bleu Paris France Bleu Pays Basque France Bleu Pays d'Auvergne France Bleu Pays de Savoie France Bleu Périgord France Bleu Picardie France Bleu Poitou France Bleu Provence France Bleu RCFM France Bleu Roussillon France Bleu Saint-Étienne Loire France Bleu Sud Lorraine France Bleu Touraine France Bleu Vaucluse
Quandon a décidé de déménager à Brest début 2016, mon projet s’est mis en place peu à peu et c’était ça. C’était évident, je voulais communiquer par l’image sur les réseaux sociaux pour les entreprises et prendre des photos de leurs
Les petites annonces . Un Océan d'amour PHILGUZZ Comme neuf . Un Océan d'amour jicebedehix Comme neuf La Chronique BDGest Un Océan d'amour 03/11/2014 Par L. Cirade B retagne pittoresque. Il fait encore nuit noire lorsqu’il doit sortir du lit. Elle est déjà levée devant son fourneau à préparer une robuste galette pour son petit déjeuner. Pour affronter la mer, le frêle pêcheur doit avoir l’estomac plein. Rituel quotidien pour un couple probablement sans histoire. Pourtant, cette journée ne ressemblera à aucune autre. Un océan d’amour est une formidable histoire qui ne finit de rebondir qu’une fois venue sa conclusion, lorsque le soleil aura disparu dans l’océan. Empruntant au burlesque le plus échevelé son rythme, ses situations cocasses et son duo homme chétif – maîtresse de maison robuste, Wilfird Lupano Ma révérence - Delcourt, Les vieux fourneaux - Dargaudet Grégory Panaccione Match et Ame perdue – Delcourt composent un récit muet qui pétille de malice pour inventer des séquences servies par un découpage de haut vol. Les deux complices s’ingénient à créer et mettre en scène des épisodes qui éloigneront, géographiquement, un couple que chacun imagine inséparable depuis le premier jour de leur union. Pour lui, les affres liées aux éléments naturels comme à la négligence et à l’avidité humaine. Pour elle, les angoisses d'une veuve […] La Preview Poster un avis sur cet album L'avis des visiteurs Erik67 Le 02/09/2020 à 003142 J'ai découvert assez récemment le talent de Gregory Panaccione avec la partie de tennis Match. En l'occurrence, il s'associe avec l'un de mes scénaristes préférés qu'on ne présente plus depuis son carton avec Les Vieux Fourneaux. Je dois bien avouer que le résultat est bluffant. J'ai littéralement adoré cette aventure maritime sur fond d'amour. Pas de lipides, et que des protéines et du glucide ! C'est difficile de raconter une histoire sans introduire le moindre dialogue à l'horizon. C'est un véritable défi pour le dessinateur qui doit alors retranscrire les sentiments et nous faire comprendre le sens du récit. Il a réussi son pari haut la main. Cela me rappelle un peu Pinocchio de Winshluss dans la démarche. Il y a également une subtile critique de la société de consommation, des modes, du gaspillage, de la pollution de la mer. Cela oscille entre l'humour et la tendresse. On passe de la Bretagne et des ses crêpes suzette à la Havane de Castro. La réussite est totale. C'est une bd innovante et passionnante. Un océan d'amour est touchant et bouleversant à la fois. Tout y est. Tout est juste. Note Dessin 4/5 - Note Scénario 4/5 - Note Globale 4/5 Yovo Le 08/12/2019 à 221333 Une "feel good story" tendre et déjantée, magnifiquement illustrée par un Panaccione inspiré. Le scenario de Lupano, bien que muet, sait parler joliment d’amour et dénoncer au passage la bêtise humaine avec une drôlerie féroce. Une BD touchante et poétique, qui laisse au cœur comme un brin de mélancolie. Un océan d'amour est une histoire très poétique et touchante. Grâce à une narration fluide et un dessin expressif, l'absence de dialogues ne pose aucun problème. Au contraire, voilà une nouvelle expérience de bande-dessinée très réussie. Coup de crayon et de pinceau bluffant aussi bien dans les tronches que dans les paysages. Un régal pour l'amateur. Un album merveilleux. N'ayant pas les mots pour le dire, je confirme les avis déjà publiés. Bravo et merci aux deux auteurs, revenez quand vous voulez. Ce livre, que j’ai eu la chance de pouvoir emprunter à mon frère, est un véritable petit bijou. Au départ, j’ai pourtant été un peu réticente à l’idée de découvrir cette BD sans aucun texte mais mes appréhensions se sont vite envolées dès les premières pages. En effet, malgré l’absence totale de bulles dans ce livre qui peut surprendre, cette histoire, par le biais de ses superbes illustrations, a réussi à me captiver du début à la fin. On suit dans cette BD pleine de rebondissements, les aventures farfelues d’un couple de breton. Le mari, marin, se retrouve perdu en mer et sa femme bigoudène, morte d’inquiétude, part à sa recherche à l’autre bout du monde. Les ingrédients quelques boîtes de sardine, une mouette écolo, un soupçon de voyance, une grosse rasade de tempête et une bonne assiette de crêpes forment un savoureux cocktail. Une magnifique histoire d’amour qui est un véritable régal pour les yeux. Rien que la couverture du livre et la quatrième valent le coup d’œil. Un pari osé et complètement réussi pour cette bande-dessinée muette mais débordante d’amour et de poésie. Simplement superbe, une histoire attachante et un dessin qui fait comprendre pourquoi les textes sont inutiles... Que de trouvailles, tant sur le dessin, que sur le scénario ! Des péripéties burlesques, des personnages de caractère mention spéciale à la mouette. Un régal... L'histoire est fantastique et attachante. Elle est accompagné par un dessin qui porte le scénario. A lire sans faute !!! Un très bel album. D'abord graphiquement avec de superbes couleurs et les expressions des personnages soignées. Puis du point de vue scénario, touchant, drôle, burlesque et sensible. Un album sans texte très réussi ! Bravo. Hugui Le 16/11/2015 à 135345 Aventures loufoques sans parole, un pêcheur perdu dans l'immensité maritime, sa femme bigoudenne qui part à sa recherche. L'originalité du dessin et des trognes des personnages croqués donne tout son sel à cet exercice de style plutôt réussi, avec de l'humour et de l'émotion, et quelques observations sur les problèmes du monde au passage. À lire. Excellente surprise. On passe un très bon moment avec ce couple de bretons simples et attachants. Bon rythme malgré l’absence de texte, l’histoire coule avec une grande fluidité grâce à un dessin subtil dans les expressions du visage et des situations. Rafraichissant. Lupano est un scénariste qui commence à avoir quelque succès, à juste titre, avec des albums comme Azimuts, le vieux fourneaux ou le singe de Hartlepool. La BD muette permet de revenir à l'essentiel de la BD. "Un océan d'amour" est une fresque amoureuse et aventureuse riche et palpitante. Un dessin en couleurs très soigné, des personnages attachants et expressifs, un scénario plus qu'original... un cocktail idéal pour du plaisir renouvelé à chaque lecture. Un grand bravo au duo d'auteurs. Et bravo aussi pour la couverture et sa 4ème ... savoureuse ! J'avoue avoir hésité pendant un moment pour acheter ce one shot. Les bandes dessinées muettes de qualité étant assez rares sur le marché, la dernière en date étant "là où vont nos pères" la tentation était grande pour moi d'en faire l'impasse. Pourtant devant les articles dithyrambiques sur cet album, je me suis finalement décidé à l’acquérir, avant même qu'il n'obtienne le prix de la Fnac. Il faut tout de même reconnaitre que le scénario de Lupano, scénariste de renom, reconnu depuis quelques années , ne souffre d'aucun défaut dans ce one shot qui oscille entre humour et limpide, fluide pour un album intitulé "un océan d'amour', il n'en fallait pas moins, et surtout très drôle. On passe de la Bretagne à Cuba en quelques pages, sans se rendre compte des multiples rebondissements qui ponctuent cet ouvrage de plus de 220 pages. Et que dire du dessin de Panaccione qui illustre parfaitement l'histoire de ce pauvre pécheur, empêtré dans ses filets et naufrages. C'est beau, émouvant le plus souvent, mais surtout très touchant pour le lecteur que je suis. Une réussite totale, une de plus pour Lupano. Depuis "Ma Révérence" et "Les Vieux Fourneaux", lorsque je vois le nom de Wilfrid Lupano sur une BD, je fonce dessus. Là, nous avons à faire à une BD innovante par son absence de bulles et plutôt sympa par le dessin de Panaccione. L'absence de bulles ne gêne en rien la compréhension mais ca se lit très vite du coup. L'histoire est belle et pleine de tendresse mais j'avoue être déçu par son côté trop simpliste. Il faudra y voir, pour les amateurs du genre, plus de poésie qu'autre chose. Bref, c'est un joli travail, innovant mais qui ne m'a pas touché personnellement. minot Le 29/01/2015 à 135913 UN OCEAN D'AMOUR est une BD muette remarquable, à la fois très drôle et attendrissante. Les chassés-croisés entre le pécheur et sa femme sont amusants, tout comme leurs mésaventures respectives. La "lecture" est très fluide, principalement grâce à un trait assez épais particulièrement séduisant et une colorisation remarquable. Les péripéties des deux protagonistes s'enchaînent sur un bon rythme, tantôt avec humour, tantôt de manière plus tendre. Le tout est vraiment réussi et l'ensemble est très rafraîchissant, car sortant véritablement de l'ordinaire. A noter le quatrième de couverture particulièrement hilarant ! Plus de 220 pages sans texte, sans bulles, sans dialogues, ... j'avais comme qui dirait une petite appréhension ! Et pourtant, j'ai immédiatement plongé dans cette histoire qui prend rapidement des allures burlesques. Les auteurs sont parvenus à me surprendre que peut-il bien arriver à un p'tit pêcheur breton perdu en pleine mer et à sa tendre épouse sensée l'attendre sur le quai ? Plein de choses extraordinaires ! Il y a du rythme, les situations cocasses s'enchaînent. Le graphisme colle parfaitement au récit. Une belle réussite qui sort des sentiers battus ! sulli Le 01/12/2014 à 155147 Sans paroles mais avec des coups de gueule - Lupano est sans doute le scénariste du moment, particulièrement remarqué et remarquable pour ses dialogues ciselés et ses punch lines cf. Ma révérence et Les vieux fourneaux. Il est donc tout à fait étonnant de le retrouver avec un récit totalement muet. Associé à un dessinateur habitué à cet exercice, Grégory Pannacione, le binôme est à l’origine d’un conte tendre et rocambolesque. Un océan d’amour c’est l’histoire d’un vieux et frêle marin qui embarque sur son petit chalutier pour une campagne de pêche pendant laquelle il connaitra moult mésaventures ! Et sa gentille femme, bigoudène de son état, remuera terre et mer pour retrouver son petit mari adoré. Mais il s’agit également d’une histoire engagée la pêche intensive, le dégazage des gros navires, la piraterie ou le continent de plastiques » ; les auteurs dénoncent ! Sans paroles, évidemment la narration repose sur les expressions des personnages, les cadrages et le découpage des cases. Avec un dessin aux tons patinés, les auteurs alternent habilement les petites cases au rythme soutenu et les respirations avec des belles planches en double page. C’est fluide et ça fonctionne bien ! Une histoire écolo qui rend hommage au Couple. Rien que la 4eme de couv donne le ton sans rien dire beaucoup de choses belle réussite et quelle année pour Lupano C'est beau,tendre,amer,faussement ingénu, plein de rebondissements,amusant ,trépidant !J'ai limite pris plus de temps à "lire" cette BD qu'une classique! Comment peut on dire autant de chose sans jamais l'ouvrir?Lupano et Panaccione ont admirablement bien réussi le pari en tous cas! Afficher encore 16 avisToutes les éditions de cet album
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